🐬 Vaut Mieux La Fin D Une Chose Que Son Commencement

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Qui suis-je? BĂ©bĂ© Grossesse Ma santĂ© enceinte Mes trimestres de grossesse Vie pratique et grossesse Parents Éducation Vie de couple Motherhood Forums Domi YodĂ© Recherche Jour Nuit Domi YodĂ© Recherche The most discussed topics đŸ”„ Maman inquiĂšte ou Maman confiante ? 0 Mom also needs a Break ! 11 Ne dit-on pas que la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ? ïżŒ 4 Je suis enceinte !!! 5 1 post Motherhood 3 Mom also needs a Break ! Et cela Ă  chaque journĂ©e 😌 pardomiyode11 15/07/20224 minutes de lecture
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Eltanin T. RosierSombralAge 37Messages 271Gallions 1630Date d'inscription 29/10/2019Feuille de personnageBaguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez PurTravail / Etudes Apothicaire MaĂźtre des PotionsMar 29 Oct - 1905Eltanin Terebellum Rosier34 ans – Sang-Pur – Jake GyllenhaalNationalitĂ© Gallois Maison SerdaigleOrientation Sexuelle DemiromantiqueSituation maritale officieusement fiancĂ© Situation financiĂšre AisĂ©e Travail Apothicaire Baguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez 1m86Corpulence ElancĂ©eCheveux Brun foncĂ©s, raides, souvent plaquĂ© en arriĂšre, mi-longsYeux bleu cielAutres Bien que tu n’aies que peu de grains de beautĂ© sur le visage, tes bras et ton dos en sont peuplĂ©s, t’aimes pas spĂ©cialement ça, alors quand t’en a l’occasion, tu prĂ©fĂšres porter des manches longues. T’as eu une sƓur jumelle, mais t’en parle assez rarement, voire pas du tout. T’as une cicatrice sur l’avant-bras droit, assez longue, trace de ton premier signe de magie. Si Ă  force de persĂ©vĂ©rance et de patience, tu as fini par devenir un Legilimens, t’as eu nettement plus de mal avec l’Occlumancie, et tu n’en maĂźtrises que quelques bases peu fiables. Tu ne supportes pas vraiment le silence, alors il t’arrives inconsciemment de tapoter doigts sur la table, ou de taper lĂ©gĂšrement du pied lorsqu’il n’y a pas assez de bruit ambiant Ă  ton goĂ»t. T’as une assurance assez incroyable, que ce soit en tes gestes, tes paroles, tes idĂ©es. Quelque chose qui t’a toujours poussĂ© Ă  donner du meilleur de toi-mĂȘme, Ă  avancer, sans te poser trop de questions non plus. Si t’as pu faire des erreurs dans le passĂ©, t’as essayĂ© d’en retirer Ă  chaque fois une leçon. MĂȘme si l’échec ne te fait pas spĂ©cialement peur, jusqu’à maintenant, rien de ce que t’as pu faire ne t’a menĂ© Ă  mort, t’en es bien heureux, et tu ne vois pas pourquoi tu devrais commencer Ă  douter de assurance qui peut mener Ă  un certain entĂȘtement. T’aimes vraiment pas devoir admettre oralement que t’as tort, ou juste dire qu’une autre personne est meilleure que toi. Si t’as une idĂ©e en tĂȘte, il sera extrĂȘmement difficile de te la sortir. Tu viendras mĂȘme Ă  faire preuve d’une mauvaise foi assez incroyable si on t’amĂšne des preuves concrĂštes pour te dĂ©montrer tes fautes. Et revenir plus tard, ou le lendemain comme une fleur en ayant changĂ© d’avis, et en faisant comme si tu n’avais jamais eu tort de ta vie. T’as une curiositĂ© assez forte, voire mĂȘme sans aucune limite. Elle pousserait presque Ă  faire croire que tu as un certain dĂ©ficit de l’attention. T’es capable en pleine conversation de changer de sujet Ă  une vitesse assez incroyable, simplement parce que quelque chose d’autre Ă  captĂ© ton esprit, que tu t’es vraisemblablement au choix lassĂ© de ce dont vous parliez juste avant, ou que ta curiositĂ© t’as poussĂ© Ă  t’intĂ©resser Ă  autre chose. N’ayant aucune notion de ce qui peut ĂȘtre bien ou mal tu te retrouves parfois dans des situations classĂ©es Ă©thiquement et moralement mauvaises selon la sociĂ©tĂ©, juste pour satisfaire ton besoin de comprendre, de toucher Ă  tout. On ne peut clairement pas t’enlever le fait que t’as un sang-froid, une patience assez mĂ©morable. Tu peux te retrouver dans la pire des situations, que tu continueras d’agir comme Ă  ton habitude, sans pour autant te mettre Ă  stresser. T’es franchement pas une personne qu’on Ă©nerve facilement. Agacer, c’est diffĂ©rent, mais il y a peu de chances pour que tu ne t’emportes suite Ă  des remarques qu’on puisse te faire. Tu gardes un ton et une attitude assez posĂ©s et gĂ©nĂ©ralement peu agressifs. Tu n’as strictement rien contre la violence physique, ou en tout cas en voir, mais t’aimes vraiment pas te salir les mains, si t’en veux Ă  quelqu’un, tu prĂ©fĂšres clairement le lui faire payer par des moyens plus quelqu’un de rarement sĂ©rieux. T’estimes que t’as qu’une seule vie, et qu’il vaut mieux en profiter plutĂŽt que de s’embourber dans des situations barbantes. Tout est sujet Ă  l’amusement, dont les autres. A quelques dĂ©tails prĂšs, tu serais capable de les considĂ©rer comme Ă©tant des bouffons prĂ©sents pour te divertir. Mais il leur arrive de le faire sans mĂȘme que tu ne demandes quoique ce soit, donc bon, tu ne vas pas t’en plaindre. T’aimes pas du tout te prendre la tĂȘte, sur quelque chose ou avec quelqu’un, alors les conflits et les problĂšmes, tu prĂ©fĂšres nettement les prendre Ă  la point auquel il est difficile de ne pas faire attention, c’est ton Ă©gocentrisme. Il paraĂźt dĂšs les premiĂšres minutes de conversations. Parce que ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© est bien Ă©videmment, ta petite personne. Si tu arrives Ă  ne pas ramener un de tes nombreux faits durant plus de cinq minutes, cela tient presque du miracle. Tu ne te prends pas pour n’importe qui, en fait. T’es totalement persuadĂ© d’ĂȘtre l’une de ses personnes mĂ©ritant ĂȘtre au-dessus des autres, et ce pour plusieurs raisons d’ on s’adresse Ă  toi, il vaut mieux ne pas tout prendre au premier degrĂ©. L’humour noir et l’ironie, ce n’est vraiment pas ça qui te manque dans la vie, t’en a Ă  revendre, en fait. Et peu importe ton interlocuteur, qu’il s’agisse d’un de tes supĂ©rieurs ou non, t’en feras preuve, quand bon te semble. Tu ne vois pas vraiment l’intĂ©rĂȘt de t’en priver, ni mĂȘme pourquoi tu devrais te freiner d’une maniĂšre ou d’une plus, t’adores parler. Tu pourrais passer des journĂ©es entiĂšres Ă  le faire, si ton corps te le permettait. Et ce, de tout et de rien. MĂȘme si trĂšs clairement, ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© sont les divers ragots et commĂ©rages que tu peux trouver. Pas spĂ©cialement pour les utiliser par la suite contre les personnes en question. Mais c’est distrayant et gĂ©nĂ©ralement assez amusant, aussi. Tout autant que ceux qui peuvent te concerner. T’aimes laisser planer le doute, et juste savoir ce qu’on peut bien penser de toi, que ce soit positif ou n’est gĂ©nĂ©ralement pas difficile de devenir de quelle humeur tu es. Il faut dire que ton visage est un peu comme un livre ouvert. T’es expressif, presque excessivement. Que ce soit tes yeux, tes sourcils, ta bouche, tes mains, tes paroles sont bien souvent suivies de mouvements les appuyant. Bien que le ton de ta voix pourrait bien souvent suffire. Surtout que t’es loin d’ĂȘtre discret lorsque tu parles. T’hurles pas non plus, mais si t’as quelque chose Ă  dire, et envie d’ĂȘtre entendu, t’hĂ©sites pas Ă  parler par-dessus les ne t’ennuies presque jamais, t’arrives Ă  t’occuper avec un rien, et qui plus est, ton cerveau ne se retrouve que trĂšs rarement totalement au repos. T’as toujours des milliers d’idĂ©es, pas spĂ©cialement bonnes, qui te passent par la tĂȘte et t’as qu’une envie, c’est de toutes les accomplir. C’est par un aprĂšs-midi pluvieux d’automne que la famille Rosier s’est agrandie non pas d’un, mais de deux nouveaux-venus. Ta sƓur, Misam, et toi-mĂȘme, Eltanin, deux noms d’étoiles, comme dans les anciennes traditions de votre famille, auxquelles vos parents tenaient Ă©normĂ©ment. Ta sƓur Ă©tant nĂ©e quelques secondes avant toi, elle a Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme ton aĂźnĂ©e, bien que l’on parlĂąt gĂ©nĂ©ralement de vous deux comme Ă©tant des jumeaux. Vous avez reçu la mĂȘme Ă©ducation, aucun favoritisme d’un cĂŽtĂ© ou de l’autre, vous Ă©tiez totalement logĂ©s Ă  la mĂȘme enseigne. Qui soi dit en passant Ă©tait plus qu’agrĂ©able, vous n’aviez aucun problĂšme financier, et votre mĂšre avait une certaine tendance Ă  cĂ©der Ă  vos caprices lorsque votre pĂšre avait le dos tournĂ©. Cependant, vous aviez des caractĂšres assez diffĂ©rents. Alors que t’aimais te dĂ©marquer, prendre les devants lorsque t’en avait l’occasion, Misam Ă©tait plus renfermĂ©e, plus taciturne. Elle avait aussi un peu plus de mal Ă  aller vers les autres, et t’avais dĂ©cidĂ© par toi-mĂȘme de l’aider, de l’entraĂźner le plus souvent possible avec toi, peu importait ce que tu pouvais faire. Tu te disais que de toute maniĂšre ça ne pouvait qu’ĂȘtre mieux que de la laisser seule dans son coin , dans votre maison. Elle ne semblait pas toujours Ă  l’aise, mais t’avais un peu pris l’habitude de la voir rĂ©agir de cette maniĂšre, alors tu n’y faisais plus spĂ©cialement attention. Vos parents Ă©tant tous deux des sorciers, vous aviez passĂ©s des nuits dans votre chambre Ă  parler, rĂȘver, de ce que pourrait bien ĂȘtre votre premier signe de magie. Signe qui se faisait franchement tarder que ce sont de ton cĂŽtĂ© ou du sien. Ce n’est que l’annĂ©e de tes six ans qu’il daigna se montrer, sans doute pas de la meilleure des maniĂšres. Par ennui et curiositĂ©, t’étais allĂ© dans la cuisine alors que cela t’était formellement interdit par ton paternel. Pas du tout un endroit pour vous, qui Ă©tait presque entiĂšrement rĂ©servĂ© Ă  l’elfe de maison de la famille. Mais il t’arrivait d’y faire un tour, surtout que ce soir-lĂ , tes parents recevaient tes amis, ce qui signifiait que forcĂ©ment, il y aurait un dessert. Et vu que personne n’avait daignĂ© te dire ce que c’était, t’étais allĂ© voir par toi-mĂȘme. T’avais Ă©tĂ© assez déçu en remarquant qu’il s’agissait d’une espĂšce de piĂšce montĂ©e aux fruits rouges, alors que tout ce dont tu avais envie, c’était de quelque chose de commencĂ© Ă  te plaindre, en espĂ©rant que cet elfe qui n’était absolument pas sous tes ordres, mais plutĂŽt sous ceux de tes aĂźnĂ©s, ne change d’avis et ne cĂšde Ă  ton caprice. Ce qu’il ne fit absolument pas, alors t’avais continuĂ© de te plaindre et de t’énerver tout seul, jusqu’à faire une vĂ©ritable crise de larmes digne d’un enfant de deux ans, mais t’avais clairement mis ta dignitĂ© de cĂŽtĂ©. Tu ne supportais pas qu’on puisse te tenir tĂȘte. Et Ă  force de t’énerver, les tiroirs ce sont ouverts sans raison, quelques couteaux en sont sortis, avant d’aller se planter dans les divers murs de la piĂšce. Nettement plus de peur que de mal, personne n’en Ă©tait mort, fort heureusement, mĂȘme si l’oreille de l’elfe de maison en avait pris un coup, et surtout ton bras droit. T’avais Ă©tĂ© mitigĂ© assez fortement entre la joie, comprenant qu’il s’agissait de ta magie qui se manifestait enfin, et encore des pleurs, vu que tu ne t’étais jamais rĂ©ellement fait mal et que tu Ă©tais certain qu’il allait maintenant falloir d’amputer le bras et que tu ne pourrais plus jamais l’utiliser. Totalement faux, aprĂšs quelques heures, tout Ă©tait redevenu dans l’ordre, t’avais plus qu’une cicatrice, que tu portes encore aujourd’hui. Et tout le monde Ă©tait heureux et soulagĂ©s, hormis peut-ĂȘtre Misam qui semblait encore un peu plus stressĂ©e que d’ tout un temps, tes parents, toi aussi d’ailleurs, ont cru qu’il s’agissait d’une cracmol, mais le jour de vos neuf ans, elle fit totalement fondre les bougies qui se trouvaient sur la tarte qu’on vous avait prĂ©parĂ©e. Visiblement un trĂšs gros problĂšme avec les desserts dans votre famille, mais soit. T’étais content pour elle, mĂȘme si ça ne t’aurait absolument pas dĂ©rangĂ© de commencer Ă  faire tes Ă©tudes sans elle Ă  Poudlard. Un grand moment, ça aussi. Surtout lors de vos achats au Chemin de Traverse. Vous aviez pu choisir un animal, t’avais optĂ© pour un chat, un persan chinchilla qui t’avait directement tapĂ© dans l’Ɠil. Ta sƓur avait voulu aussi prendre un fĂ©lin, mais il s’était vite avĂ©rĂ©, mĂȘme dans le magasin, que celui que tu avais choisi ne supportait absolument pas la prĂ©sence des autres et tentait d’ĂȘtre agressif avec eux. Vous aviez deux choix, soit tu optais pour un autre, soit Misam pouvait prendre un autre animal, en espĂ©rant qu’il s’entendrait avec lui. Il n’avait pas fallu longtemps pour que la deuxiĂšme option soit adoptĂ©e. Tu n’avais aucune envie de dĂ©truire les quelques rĂȘves que t’avais pu faire avec cette boule de poil blanche en une poignĂ©e de seconde non plus. Puis elle avait eu droit Ă  un beau grand-duc aussi. Bien que tu le trouvais un peu ridicule, mais t’avais Ă©vitĂ© de le dire Ă  voix arrivĂ© le jour tant attendu de votre rentrĂ©e. Tu ne tenais clairement plus en place, alors que Misam traĂźnait un peu des pieds. Tu savais qu’elle avait un peu peur de devoir quitter la maison, l’espĂšce de cocon que vous aviez avec vos parents, t’avais essayĂ© de la rassurer en lui disant que de toute maniĂšre vous seriez ensemble, que ce serait beaucoup trop bien si vous vous retrouviez dans la mĂȘme maison. T’avais sĂ»rement dĂ» lui dire que tu ne la lĂącherais pas d’une semelle si ça pouvait lui faire plaisir. Que vous vivriez cette expĂ©rience ensemble, et qu’il n’y avait rien Ă  craindre. Et une fois sur place, elle semblait s’ĂȘtre calmĂ©e, toute aussi fascinĂ©e que toi par les Ă©tĂ© le premier Ă  passer sous le Choixpeau. Les secondes les plus longues de ta vie, sans aucun doute. Les plus excitantes que t’aies pu vivre jusqu’à tes onze ans, aussi. Il avait mis un peu de temps avant de se dĂ©cider Ă  t’envoyer chez les Bleu et Bronze. Ce qui te convenait parfaitement, t’étais dĂ©jĂ  assez optimiste, et t’aurais rĂ©ussi Ă  trouver du bon peu importe oĂč t’aurais atterri. Un peu moins l’avis de tes parents d’ailleurs, mais ce n’était pas comme si tu pouvais y changer quoique ce soit. Misam fut la suivante. A ta surprise, elle fut envoyĂ©e dans la mĂȘme Maison que la tienne, et ça t’arrangeait, tu te serais senti un peu mal de lui avoir dit quelques heures auparavant que vous n’alliez plus vous quitter, si vous ne partagiez mĂȘme pas les mĂȘmes salles communes. T’as pas tardĂ© Ă  te faire un groupe d’amis, faut dire que t’as jamais Ă©tĂ© trĂšs difficile, et que t’es facilement repĂ©rable, autant que mĂ©morable. Puis lors de ta troisiĂšme annĂ©e, ton cousin, Tomos vous avait rejoint chez les bleu et bronze. Tu l’avais toujours apprĂ©ciĂ©, tu le considĂ©rais mĂȘme plus que comme un frĂšre, alors pouvoir passer encore plus de temps avec lui, t’étais beaucoup trop heureux. Tu vivais tranquillement ta vie, et franchement d’un point de vue externe, tu te fondais dans la masse. T’excellais qu’en Potions et Divination, le reste Ă©tait plutĂŽt assez moyen, voire mĂȘme mĂ©diocre lorsqu’il s’agissait de la MĂ©tamorphose. A un tel point que lorsque vous deviez travailler en binĂŽme, t’avais du mal Ă  en trouver un, et tu finissais gĂ©nĂ©ralement par te retrouver avec Misam. Tu passais pas mal de temps avec elle, tu continuais de l’inclure lorsque vous faisiez des sorties Ă  PrĂ©-au-Lard, ou mĂȘme des sorties aprĂšs le couvre-feu, qui Ă  quelques reprises se conclurent en retenues. Puis durant votre cinquiĂšme annĂ©e, presqu’à la fin, il y avait eu ce pote, qui Ă©tait venu te voir pour t’avouer que ta sƓur l’attirait, mais qu’il n’osait pas vraiment l’aborder. T’avais pas trop su comment le prendre, au dĂ©but. T’avais toujours un peu ce cĂŽtĂ©, Ă  vouloir protĂ©ger Misam de tout. Mais qu’est-ce qui pourrait mal se passer, ce mec tu le connaissais depuis au moins trois ans, vous vous entendiez plus que bien. Alors t’avais Ă©tĂ© voir ta sƓur, commençant Ă  presque lui vendre votre homologue, du mieux que tu le pouvais. Tu te rappelles lui avoir dit qu’elle Ă©tait chanceuse, que c’était vraiment quelqu’un de bien. Tu ne sais mĂȘme plus combien de temps ça a durĂ©, votre conversation, mais ce fut assez long. Long mais payant. Quelques jours plus tard tu les avais vu ensemble, et t’étais carrĂ©ment content pour eux. Tu n’avais pas voulu t’immiscer plus que ça, surtout que vos arrivaient. Un grand moment. Surtout lorsque deux semaines avant le dĂ©but des Ă©preuves, tu t’étais rendu compte que certaines de tes notes Ă©taient incomplĂštes. Tu t’étais dit que t’irais au talent, ça avait toujours fonctionnĂ©. Puis tu t’es rendu compte aprĂšs ton premier examen, celui d’Histoire de la Magie, ça n’allait clairement pas suffire. Est-ce que t’avais passĂ© tout le restant de la journĂ©e Ă  paniquer et Ă  agresser verbalement chaque personne t’adressant la parole ? CarrĂ©ment. Toutes sauf une. Misam Ă©tait arrivĂ©e, avec ses notes pour te les passer. Elle avait toujours Ă©tĂ© plus organisĂ©e que toi, et elle avait fini d’étudier pour la journĂ©e. Pour pratiquement toute la session mĂȘme, elle t’avait dit. T’aurais jamais pu la remercier Ă  sa juste valeur, elle t’avait carrĂ©ment sauvĂ© d’un redoublage. T’avais aussi de la chance d’avoir une bonne mĂ©moire, mĂȘme si t’avais dĂ» sacrifier quelques heures de sommeil, t’avais trouvĂ© un bon crĂ©neau, pour ne pas commencer Ă  mourir sur tes parchemins les jours suivants. Et t’étais totalement Ă©tĂ© insupportable, jusqu’aux rĂ©sultats. Surtout que vos parents avaient prĂ©vus un voyage en France quelques semaines aprĂšs, vous aviez de la famille du cĂŽtĂ© de ta mĂšre installĂ©e par-lĂ , et tu n’avais aucune envie que ce soit gĂąchĂ© par une ou plusieurs notes particuliĂšrement nulles, mĂȘme si tu savais dĂ©jĂ  que t’avais ratĂ© un cours. Tu te souviens tellement bien du jour oĂč les hiboux sont arrivĂ©s. T’étais seul dans le salon, accoudĂ© Ă  la fenĂȘtre, prĂȘt Ă  rĂ©agir au premier mouvement un tant soi peu suspect. Tes parents travaillaient et Misam Ă©tait dans votre chambre, en train de prĂ©parer sa valise, elle devait passer quelques jours avec son copain et sa famille tu ne savais oĂč. Quand les volatiles Ă©taient arrivĂ©s, t’avais eu du mal Ă  ne pas leur arracher l’enveloppe des mains. D’ailleurs sur le coup, tu n’avais pas compris, mais le hibou dĂ©tenant la lettre de ta sƓur restait rĂ©solument devant toi, en te tendant la patte, alors que tu lui avais dit qu’elle Ă©tait en haut. T’en avais dĂ©duit qu’il Ă©tait juste dĂ©bile hein. Et t’avais aussi pris sa lettre au passage. T’avais ouverte la tienne en appelant ta sƓur presque assez fort pour que tout le village ne soit au courant, mais t’avais pas entendu de rĂ©ponse. T’étais sans doute trop absorbĂ© par la lecture de tes notes. Etonnement, t’avais rĂ©ussi Ă  avoir non pas deux O, mais trois, en plus de tes matiĂšres de prĂ©dilections, t’avais rĂ©ussi Ă  en dĂ©goter un en Botanique. Le reste Ă©tait un doux mĂ©lange de E et de A, sauf pour l’Histoire de la Magie. Un beau P y trĂŽnait. Mais t’allais plutĂŽt l’ l’enveloppe de Misam t’avait intriguĂ©e. Elle Ă©tait plus lourde. Et ta curiositĂ© t’avait poussĂ© en deux secondes Ă  l’ouvrir Ă  son tour. Le poids vu vite expliquĂ© par l’insigne de prĂ©fet qui s’y trouvait. T’avais beau eu te dire d’ĂȘtre heureux pour elle, t’en avais juste retirĂ© une certaine jalousie. Une certaine envie aussi. Pourquoi elle particuliĂšrement, et pas toi ? Voir mĂȘme, vous deux ? T’avais songĂ© un instant le garder pour toi, mais c’était ridicule, la direction devait avoir des papiers prouvant que c’était Ă  elle. T’avais aussi regardĂ© son relevĂ© de notes. Lui par contre, Ă©tait un peu moins bien que le tiens. Un soulagement, mĂȘme une certaine fiertĂ©, vu que tu t’y Ă©tais pris au dernier moment contrairement Ă  elle. Et comme elle ne venait pas, t’avais dĂ©cidĂ© d’aller directement la trouver, avec presque la ferme intention de te vanter de tes notes, tout en essayant de minimiser ce que le poste de prĂ©fet pouvait lui apporter. Sauf que Misam, elle n’a jamais su tout court qu’elle Ă©tait nommĂ©e n’a jamais su qu’elle avait rĂ©ussi absolument tous ses Ă©tait bien dans votre chambre, le corps inerte, retenu par une corde accrochĂ©e Ă  une des poutres. Le sourire que t’avais s’était figĂ©, l’information avait mis du temps Ă  monter. T’avais quand mĂȘme fini par percuter, aprĂšs une poignĂ©e de secondes. T’avais tellement pas su quoi faire, Ă  part l’appeler, en espĂ©rant qu’elle pourrait te rĂ©pondre. L’idĂ©e de la dĂ©tacher t’étais passĂ© par la tĂȘte, mais quelque chose t’empĂȘchait trĂšs clairement de l’approcher. De la peur ? Sans doute. Jusque lĂ , t’avais jamais eu aucune expĂ©rience avec la mort. Mais t’avais eu la prĂ©sence d’esprit de prendre son hibou, pour pouvoir Ă©crire une lettre Ă  tes parents, en espĂ©rant qu’ils la lisent assez rapidement. Et t’étais tombĂ© aussi sur un cahier qui t’étais Ă©trangement familier. Normal, t’avais eu exactement le mĂȘme Ă  ton entrĂ©e Ă  Poudlard, d’une couleur diffĂ©rente cependant. C’était son journal intime, chacun Ă©tant protĂ©gĂ© par un certain sort d’invisibilitĂ©. Sauf que tu voyais clairement quelque chose d’écrit. Sans doute que le sort s’était brisĂ© avec sa mort. Tu t’étais dit que t’y trouverais peut-ĂȘtre des rĂ©ponses, de toute maniĂšre t’avais jamais eu autant de mal Ă  rĂ©flĂ©chir qu’à cet instant, de toute ta vie. Tu ne savais plus trop ce que tu faisais, et une fois le hibou parti, t’étais de nouveau allĂ© te rĂ©fugier dans le salon, Ă  la diffĂ©rence que tu t’étais installĂ© presque prostrĂ© dans un des fauteuils, gardant un coussin prĂšs de toi, et ce journal. T’étais trop paniquĂ© pour pleurer, et mĂȘme pour faire quoique ce soit d’autre que de lire ce que t’avais en main. T’aurais jamais dĂ» faire ça, pour ton propre bien. T’aurais jamais dĂ» faire ça, pour respecter son intimitĂ©, sa rĂ©ponses, t’en a eues. Pas vraiment celles que t’aurais espĂ©rĂ©es. T’avais mis un temps Ă  le lire, plusieurs jours mĂȘme, lorsque tes parents Ă©taient revenus, t’avais juste eu le rĂ©flexe de le garder sur toi, le leur cachant dĂ©libĂ©rĂ©ment. Tu t’étais dit qu’une fois que t’aurais fini de le lire, tu prĂ©tendrais l’avoir retrouvĂ© par hasard. Au final, tu ne le leur a jamais montrĂ©, encore aujourd’hui il est dans tes affaires, au milieu d’une multitude de bouquins traitants de sujets tout aussi divers les uns que les autres. Tu sais trĂšs bien qu’il est lĂ , mais comment t’aurais pu le leur donner de ton plein elle n’avait jamais voulu spĂ©cialement se retrouver Ă  Serdaigle, elle l’avait simplement demandĂ©, par peur d’ĂȘtre sĂ©parĂ©e de toi, par peur que tu ne sois déçu si elle se trouvait autre part. A plusieurs reprises elle avait remis en cause ce choix, se rendant de plus en plus compte au fil des annĂ©es que ce n’était pas du tout une Maison qui lui convenait, dans les idĂ©aux qu’elle visait, les personnes qui y Ă©taient. Elle Ă©tait certaine que si elle Ă©tait allĂ©e dans une autre, elle aurait pu nettement plus Ă©voluer, se dĂ©complexer, plutĂŽt que de rester dans ton ombre la plupart du groupe d’amis ? ce n’était pas qu’elle ne le supportait pas, mais elle n’avait aucun atome crochu avec eux. Elle avait rĂ©ussi Ă  en avoir d’autres, Ă  cĂŽtĂ©, mais n’osant jamais dĂ©cliner les propositions de sorties que tu pouvais lui faire, elle avait fini malgrĂ© elle par les dĂ©laisser. Ta mĂ©diocritĂ© en MĂ©tamorphose ? Elle l’avait sans doute nettement plus subie que toi, s’était retrouvĂ© par moment avec des malformations temporaires desquelles t’avais toujours ri, aprĂšs tout, ça partait au bout de quelques heures. Mais si t’en riait de bon cƓur, ce n’était pas vraiment le cas de tout le monde. Les remarques, les regards, elle les avait tous notĂ©s, en espĂ©rant que ça passerait mieux si elle s’exprimait par Ă©crit. Mais plus les jours passaient, plus son style changeait, plus morne, plus sombre. Elle se remettait en doute, tout le heures de colles, tu les avais aussi prises Ă  la lĂ©gĂšre, te disant que ça faisait partie d’une scolaritĂ© normale, tant que vous n’en aviez pas constamment. Vos parents vous avaient fait aussi quelques remarques, auxquelles t’avais simplement acquiescĂ©, promettant un peu trop lĂ©gĂšrement que tu ne recommencerais plus. C’était tout autre chose pour ta sƓur, mĂȘme si elle en avait eue moins que toi, chaque paragraphe suivant une de ses retenues semblait ĂȘtre un concentrĂ© de manque de confiance en soi, de remise en question, elle venait Ă  se demander ce qu’elle faisait lĂ , pourquoi elle n’arrivait pas Ă  passer au-dessus comme tu pouvais le faire. A se dire qu’elle n’était qu’un boulet pour toi, que tout irait mieux si elle t’étais dit que ça ne pourrait qu’aller mieux une fois qu’elle se serait retrouvĂ©e avec son copain. Et mĂȘme si ça n’avait pas spĂ©cialement durĂ©, il te restait un nombre assez important de pages. T’étais vraiment trop naĂŻf, et trop con. Bien Ă©videmment, il y avait eu vos examens. Elle avait passĂ© un bon moment Ă  s’inquiĂ©ter pour toi, ton Ă©tat en revenant de la premiĂšre Ă©preuve. Elle avait dĂ©cidĂ© de passer absolument tout son temps libre Ă  complĂ©ter le plus possible ses notes en se renseignant Ă  la bibliothĂšque, et auprĂšs de plusieurs enseignants. Si t’avais sacrifiĂ© quelques heures de sommeil pour Ă©tudier, elle avait passĂ© de nuits blanches sur ces cours qu’elle te donnait, qu’elle n’avait mĂȘme pas le temps de relire pour elle-mĂȘme. Elle se disait qu’elle avait de toute façon dĂ©jĂ  commencĂ© ses rĂ©visions, et que réécrire tous les renseignements l’aiderait aussi. Sauf qu’elle finissait par s’endormir n’importe oĂč, n’importe quand, ne pensait mĂȘme plus Ă  manger, trop obnubilĂ©e par t’aider dans ta Ă  sa relation. Elle n’en avait jamais voulu, du tout. Elle l’avait acceptĂ© uniquement pour te faire plaisir, par peur une nouvelle fois de descendre dans ton estime. Puis tu lui avais assurĂ© que c’était quelqu’un de bien. Et qu’elle Ă©tait chanceuse. Si t’avais su. Il la forçait la plupart du temps Ă  faire des choses qu’elle ne voulait pas faire, c’était toujours de pire en pire, mais t’avais tellement l’air heureux quand tu les voyais ensemble qu’elle voulait encore moins te dĂ©cevoir. Elle Ă©tait totalement perdue, pire que ça, elle cherchait de l’aide, mais elle en savait pas oĂč en demander, ni mĂȘme Ă  qui. Et ces quelques jours qu’elle allait devoir passer en compagnie de son copain, elle les craignait plus que tout. Et elle en Ă©tait arrivĂ© Ă  un stade oĂč elle avait pris la dĂ©cision de tout arrĂȘter, d’arrĂȘter de vivre, d’ĂȘtre un poids pour tout le monde, mĂȘme pour elle-mĂȘme. Dire qu’elle se haĂŻssait Ă©tait un euphĂ©misme. Et t’avais bien dĂ» te rendre Ă  l’évidence que tout ce que t’avais fait pour Misam, s’était l’enfoncer. L’enfoncer et passer Ă  cĂŽtĂ© de son dĂ©sespoir. Ne pas lui tendre la bonne main. Ca t’avait fait beaucoup rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme. Bien la seule et unique fois oĂč t’as daignĂ© le faire. T’essayais de comprendre comment t’aurais pu l’aider, avant de te rendre Ă  l’évidence que tu ne saurais rien changer. Tu t’en voulais Ă©normĂ©ment, comment t’aurais pu ne pas le faire. Et les mois qui suivirent furent les pires de ta vie. Tu la cherchais inconsciemment, tu te cherchais aussi, certain d’avoir ratĂ© quelque chose, certain que si c’était arrivĂ©, c’était par ta faute, qu’il fallait que tu trouves ce qui clochait en toi. Tu ne comptais plus le nombre de nuits oĂč tu te rĂ©veillais, persuadĂ© de l’avoir entendue, ou sentie. MĂȘme aprĂšs qu’on t’ait fait changer de chambre, ne supportant plus du tout l’ancienne. Vous aviez quand mĂȘme tenu ce voyage en France, qui n’avait plus autant de valeur Ă  tes yeux qu’avant. Et l’ambiance qui rĂ©gnait dans votre famille sonnait totalement faux. Tu l’avais un peu fuie d’ailleurs, le plus possible, essayant de te changer les idĂ©es en rencontrant d’autres personnes. Pas uniquement tes cousins, mais aussi leurs amis qui avaient plus ou moins ton Ăąge. Tu cherchais clairement Ă  combler le vide qu’avait laissĂ© Misam, et ce de n’importe quelle maniĂšre. Franchement, commencer Ă  fumer ne t’a rien apportĂ©, si ce n’est une endurance un peu dĂ©plorable Ă  ce jour, surtout au niveau de la respiration. Mais une fille avait attirĂ© ton attention. Ce n’était pas que t’avais pas osĂ© l’aborder, mais t’avais un blocage. Peut-ĂȘtre que pour elle aussi, tu passerais Ă  cĂŽtĂ© de quelque chose, que tu lui ferais plus de mal qu’autre chose. Sauf que c’était elle qui s’était rapprochĂ© petit Ă  petit de toi. Qui avait clairement remarquĂ© que tes sourires Ă©taient un peu trop prononcĂ©s pour paraĂźtre vrai, que durant tes quelques moments d’absence, tu pouvais avoir un air on ne peut plus maussade. Elle Ă©tait patiente, douce, protectrice aussi, mĂȘme si elle savait ce qu’elle voulait et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle avait Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  te faire rire franchement depuis la disparition de Misam. Tu t’étais trĂšs rapidement attachĂ© Ă  elle, et c’était totalement rĂ©ciproque. Vous vous Ă©tiez mis ensemble rapidement, peut-ĂȘtre un peu trop. Mais t’en avais besoin de cette attention, de cette affection. Comme t’avais besoin d’en donner. Vous passiez la quasi-totalitĂ© de votre temps ensemble. Un soir, t’étais prĂȘt Ă  aller plus loin, mais tu l’avais sentie lĂ©gĂšrement rĂ©ticente, alors t’avais directement arrĂȘtĂ©, et elle t’avait parlĂ©. Elle avait aussi quelque chose sur le cƓur, qui la taraudait depuis un petit temps. Quelque chose qu’elle n’avait jamais osĂ© te dire, qu’elle essayait de cacher le plus possible. Elle avait mis du temps Ă  mettre les mots, Ă  se dĂ©cider Ă  te dire qu’elle Ă©tait un magnifique, le premier amour, on est prĂȘt Ă  tout accepter, tout pardonner. MĂȘlĂ© Ă  l’insouciance de la jeunesse. Certes, tu ne t’y attendais pas, t’avais essayĂ© de ne pas laisser transparaĂźtre ta surprise pour pas qu’elle ne le prenne mal. Surtout qu’à l’époque, t’étais clairement certain qu’il s’agissait de la femme de ta vie. Tu lui avais dit que ce n’était pas grave, que ça ne changeait rien pour toi. Ce qui Ă©tait en partie vrai, tu l’aimais tellement qu’à l’époque, t’aurais Ă©tĂ© prĂȘt Ă  faire tous les sacrifices possibles et inimaginables. Peut-ĂȘtre pour essayer de te racheter inconsciemment auprĂšs de Misam, certes. Sauf qu’il fallait bien que tu rentres en Angleterre, Ă  la fin des vacances. Tu lui avais promis de lui Ă©crire au plus vite, t’avais mĂȘme dĂ©jĂ  demandĂ© Ă  tes parents de pouvoir passer une semaine ici durant les vacances de NoĂ«l. T’as tenu ta promesse, tu lui as Ă©crit. Si au dĂ©but t’avais des rĂ©ponses assez rapides. Puis un jour, le nĂ©ant. Total. Tu ne savais pas ce que tu avais pu dire ou faire. Mais c’était comme si elle avait disparue. T’as aussi essayĂ© d’écrire Ă  ses parents, tout ce que tu avais compris, c’était qu’ils Ă©taient en pas eu envie d’abandonner, t’essayer de temps en temps de la recontacter. Et avec tout ça, le dĂ©but de ta sixiĂšme annĂ©e avait Ă©tĂ© une vĂ©ritable catastrophe. Une chute libre dans la totalitĂ© de tes matiĂšres, en mĂȘme temps tu ne trouvais mĂȘme plus la foi de faire tes devoirs, dĂšs que tu finissais les cours, t’allais directement dans ton dortoir, et t’y restais jusqu’au lendemain matin. T’avais du mal mĂȘme Ă  parler encore Ă  tes proches, parce que t’avais peur de tout empirer. Jusqu’au jour oĂč t’avais failli mettre fin Ă  tes jours. Qu’heureusement Tomos Ă©tait arrivĂ© Ă  temps pour te soigner d’ailleurs. Tu lui dois tellement de choses, t’en aurais presque honte. Chaque jour tu remercies la personne qui la pu le mettre sur ton prĂȘt aussi, Ă  tout abandonner. Mais tes enseignants, ou en tout cas ton directeur de maison n’avait pas du tout eu l’air d’ĂȘtre du mĂȘme avis. Il t’avait convoquĂ©, avec tes parents pour en parler. Pas la meilleure de ses idĂ©es, trĂšs clairement. Vous aviez juste fini par vous Ă©nerver. Et en ressortant t’étais mĂȘme plus spĂ©cialement triste, mais rancunier, t’en voulais Ă  tout le monde, pour le moindre problĂšme. T’avais Ă©tĂ© violent inutilement Ă  plusieurs reprises, t’avais de nouveau Ă©tĂ© convoquĂ©, mais seul cette fois-ci. Il t’avait bien fait comprendre que si tu ne changeais pas d’attitude, tu allais droit dans le mur. Que soit tu allais rater ton annĂ©e, soit tu risquais d’ĂȘtre renvoyĂ© temporairement si tu continuais de t’attirer autant d’ennuis. Il t’a fait rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, essayant de t’aider, mĂȘme si tous ses conseils n’étaient pas franchement utiles. Vous vous voyiez rĂ©guliĂšrement, et petit Ă  petit, il t’avait aidĂ© Ă  aller mieux, Ă  utiliser cette espĂšce de colĂšre correctement. Elle n’était plus restĂ©e trĂšs longtemps. Parce que t’avais pris une dĂ©cision. Celle de d’abord penser Ă  toi. A ton avenir. Te prendre en main. Recommencer Ă  zĂ©ro, ou presque. T’en avais marre de te lamenter, de passer des heures Ă  te poser des questions. Tu voulais changer et t’allais changer. L’altruisme que t’avais essayĂ© d’avoir n’avait pas fonctionnĂ© ? T’allais plutĂŽt pencher pour l’égoĂŻsme, qui Ă©tait mieux placĂ© que toi-mĂȘme pour savoir ce qui te ferait plaisir, ce qu’il te fallait ? T’as enlevĂ© tout ce qui pouvait ĂȘtre nĂ©gatif dans ta vie. Absolument tout. T’as dĂ©cidĂ© de tout prendre assez lĂ©gĂšrement. De profiter aussi du fait que t’aies dĂ©libĂ©rĂ©ment des facilitĂ©s en Potions, et qu’en plus ça te ne t’es plus jamais rien refusĂ©. Ni Ă  toi, ni Ă  ta curiositĂ© d’ailleurs. T’avais commencĂ© Ă  t’intĂ©resser Ă  toutes les sortes de magies. La noire plus particuliĂšrement. Simplement parce qu’on ne vous en parlait que trĂšs rarement, qu’on vous l’interdisait Ă  l’école, et que t’estimais que dĂ©sormais le seul Ă  pouvoir te donner des rĂšgles, c’était toi-mĂȘme, en fait. Surtout que tu ne faisais rien de mal, tu te renseignais. C’était assez difficile Ă  expliquer, mais tu t’en sentais plus proche, t’avais toujours envie d’en savoir plus, aussi. Ce qui ne t’a pas empĂȘchĂ© de te concentrer sur tes Ă©tudes. De te recentrer. T’avais une idĂ©e bien en tĂȘte. Tu voulais suivre une formation bien particuliĂšre, celle de MaĂźtres des Potions. Une matiĂšre qui ne cessait aussi de te fasciner et avec laquelle il Ă©tait impossible de s’ennuyer ou de tomber dans une certaine routine. Tout ce qu’il te fallait. Tu savais qu’il s’agissait d’études assez longues, mais t’étais clairement motivĂ© pour. Enfin rien de mal. T’avais commencĂ© Ă  comprendre que Tomos, tu ressentais un peu plus de choses pour lui qu’un simple lien familial. Ou mĂȘme amical. Y avait ce jour oĂč vous aviez un peu trop bu, une des premiĂšres fois d’ailleurs oĂč tu le faisais. Et tu l’avais embrassĂ©. Il ne s’était pas retirĂ©, il n’avait rien tentĂ© mĂȘme, il y avait rĂ©pondu, mais vous l’aviez gardĂ© secret. T’avais eu peur d’en reparler, et de casser cette amitiĂ© si spĂ©ciale que vous mĂȘme d’entrer Ă  l’universitĂ©, t’avais choisi ta spĂ©cialisation ; les remĂšdes. Non pas pour avoir la satisfaction de sauver des vies, des gens. Parce que ce qui t’intĂ©ressait le plus Ă©taient les poisons, et les plantes qui pouvaient causer un empoisonnement. Voir l’effet qu’ils pouvaient avoir sur le corps humain. Et aussi, la satisfaction de pouvoir se dire que t’étais plus fort que ça. Ta scolaritĂ© s’était finie assez tranquillement, bien que t’aies commencĂ© Ă  dĂ©velopper une certaine haine, ou en tout cas mĂ©pris envers les gens qui n’étaient pas du mĂȘme rang que le tiens. GrĂące Ă  ça, ça t’évitait de t’attacher Ă  pas mal de monde dĂ©jĂ , et t’étais persuadĂ© de te protĂ©ger, au moins un minimum. Tes Ă©tudes supĂ©rieures ne furent pas spĂ©cialement une partie de plaisir. Si t’étais motivĂ©, que t’avais totalement les capacitĂ©s, tu n’aimais pas spĂ©cialement devoir apprendre sous la direction d’une personne, qui te disait constamment quoi faire. Qui te mettait des limites aussi, se permettant de te dire que telle ou telle chose Ă©tait peut-ĂȘtre trop difficile ou dangereuse pour toi. T’étais bien forcĂ© de l’écouter, si tu voulais rĂ©ussir, mais rien ne t’empĂȘchait cĂŽtĂ© de tes cours de continuer de te renseigner sur tout et n’importe quoi. T’essayais de te dire que plus tu avancerais, plus ce serait intĂ©ressant. Et t’avais pas spĂ©cialement tort. Du tout. Les deux premiĂšres annĂ©es avaient Ă©tĂ© spĂ©cialement longues, mais les trois autres, t’avais eu un peu plus de libertĂ©. Le summum avait Ă©tĂ© les deux derniĂšres, que tu devais passer Ă  l’étranger. OĂč tu devais changer de chaperon aussi, afin de tester tes connaissances et les remettre en question. Ca ressemblait nettement plus Ă  un challenge que t’avais relevĂ© haut la main. Ton diplĂŽme en poche, t’étais retournĂ© en Angleterre, et t’avais pris une annĂ©e sabbatique. T’avais pas eu envie de te lancer directement dans la vie active, tu t’étais posĂ©, tranquillement, en profitant pour te poser un peu, regarder aussi toutes les possibilitĂ©s qui pouvaient s’offrir Ă  toi. Et parfaire tes connaissances en Magie Noire, maintenant que tu n’avais plus personne pour t’en empĂȘcher. Au dĂ©but c’était un peu comme une fascination morbide. Puis ça ne s’est tenu qu’à la fascination. T’étais bien conscient que tu ne pouvais dĂ©libĂ©rĂ©ment pas en parler librement Ă  n’importe qui. Mais tu l’utilisais. Mais ça t’allait. Totalement. Il a bien fallu que tu finisses aussi par te bouger, et trouver un travail. T’as mĂȘme un peu galĂ©rĂ©, parce que certes, il y avait des postes Ă  Sainte-Mangouste, mais ce n’était pas assez bien pour toi. Qu’est-ce qui Ă©tait assez bien pour toi, mĂȘme. AprĂšs quelques refus Ă  gauche et Ă  droite, t’as bien dĂ» mettre ta dignitĂ© de cĂŽtĂ©, et te rabattre sur l’hĂŽpital. Vu ton parcours, t’avais pu devenir guĂ©risseur, au service d’empoisonnement, autant par les potions que par les plantes. T’étais plutĂŽt douĂ©, mĂȘme pour le cĂŽtĂ© relationnel. De base, t’aimes pas les gens, et pourtant, ça ne t’empĂȘche pas de parler Ă©normĂ©ment, de faire connaissance sans pour autant t’y attacher. Ca fait mĂȘme maintenant neuf ans, que tu travailles Ă  Sainte-Mangouste, que tu t’ennuierais presque comme un rat mort. Heureusement qu’il y a encore le bouche Ă  oreille. Mais t’aimerais trouver quelque chose qui casserait totalement ta routine. Quelque chose qui puisse pimenter ta vie, y redonner un peu plus de couleurs. T’es fatiguĂ© de te lever, d’accomplir presque toujours les mĂȘmes gestes, de passer tes soirĂ©es hors de ton appartement, dans l’espoir de faire une rencontre intĂ©ressante, qui pourrait venir te sortir de pas de te dire que tu pourrais te rendre plus utile que ça et que tu pourrais accomplir plus de choses sur un plan personnel. Que tes envies de grandeur, de pouvoir ne doivent pas ĂȘtre si difficiles Ă  assouvir. Bien Ă©videmment, une idĂ©e te passe de plus en plus en tĂȘte ces derniers temps. Un groupe qui est en train de monter en puissance, les Sombrals. Ils ne font pas que t’intriguer, ils t’attirent. Et t’as eu de la chance, d’en connaĂźtre celle qui est Ă  la tĂȘte, qui fait en quelque sorte partie de ta famille. Qui a pu t’y faire entrer. Tu ne la remercieras jamais assez non plus de t’avoir offert la possibilitĂ© d’y entrer. Mais en fait, ta vie prend un tournant que t’aurais jamais imaginĂ©. T’as rĂ©ussi Ă  parler Ă  ton cousin, aprĂšs une soirĂ©e mouvementĂ©e. Vous vous ĂȘtes mĂȘme mis ensemble, chose que tu n’aurais jamais cru possible. Tout ça, ça t’a donnĂ© le courage d’enfin prendre correctement ta vie en main, et de quitter ton travail, de le quitter et d’ouvrir ta propre apothicairerie. Tu sais pas trop ce que ça donnera, mais bon, t’as plutĂŽt 30 Oct - 1118Tu me manquais dĂ©jĂ  dis Fiche toujours aussi incroyable, je sais pas pourquoi ça aurait subitement changĂ© hein, bien hĂąte de reprendre tous nos petits rps parce que ça va ĂȘtre rigolo hihihijesaispluscequejedis BREF Rebienvenue et bonne validation awful
Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain.
Au-delĂ  des difficultĂ©s que l’on peut rencontrer, il est possible de rebondir les obstacles peuvent se changer en tremplin. Quel encouragement ! 👉 DĂ©couvre Momentum Sans FrontiĂšres Formulaire de priĂšre en ligne TopChrĂ©tien est une plate-forme diffuseur de contenu de partenaires de qualitĂ© sĂ©lectionnĂ©s. Toutefois, si vous veniez Ă  trouver un contenu vidĂ©o illicite ou avec un problĂšme technique, merci de nous le signaler en cliquant sur ce lien. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! TikTokvideo from kindelabenerose@ "mieux vaut la fin d' une chose que son commencement ". son original. 7 Une bonne rĂ©putation* vaut mieux qu’une bonne huile+, et le jour de la mort vaut mieux que le jour de la naissance. 2 Mieux vaut aller Ă  la maison de deuil qu’à la maison de banquet+, parce que c’est lĂ  la fin de tout homme, et les vivants doivent prendre cela au sĂ©rieux. 3 Mieux vaut la dĂ©tresse que le rire+, car la tristesse du visage rend le cƓur meilleur+. 4 Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, mais le cƓur des stupides est dans la maison de rĂ©jouissance*+. 5 Mieux vaut Ă©couter la rĂ©primande d’un sage+ que le chant des stupides. 6 Car le rire du stupide est comme le crĂ©pitement d’épines qui brĂ»lent sous la marmite+ ; cela aussi est futile. 7 Mais l’oppression peut rendre fou un sage, et un pot-de-vin corrompt le cƓur+. 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut ĂȘtre patient qu’avoir l’esprit hautain+. 9 Ne te vexe pas pour un rien*+, car la susceptibilitĂ© loge chez les stupides*+. 10 Ne dis pas Pourquoi les jours d’autrefois Ă©taient-​ils meilleurs que ceux-ci ? » Car ce n’est pas la sagesse qui te dicte cette question+. 11 La sagesse avec un hĂ©ritage est une bonne chose et un avantage pour ceux qui voient la lumiĂšre du jour*. 12 Car la sagesse est une protection+ tout comme l’argent est une protection+, mais voici l’avantage de la connaissance la sagesse prĂ©serve la vie de celui qui la possĂšde+. 13 Regarde l’Ɠuvre du vrai Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu+ ? 14 Dans un jour bon, fais toi-​mĂȘme preuve de bontĂ©*+, et dans un jour de malheur, considĂšre que Dieu les a faits l’un et l’autre+, afin que les hommes ne sachent pas avec certitude* ce que l’avenir leur rĂ©serve+. 15 Durant ma vie futile+, j’ai tout vu depuis le juste qui pĂ©rit dans sa justice+ jusqu’au mĂ©chant qui vit longtemps malgrĂ© sa mĂ©chancetĂ©+. 16 Ne sois pas juste Ă  l’excĂšs+ et ne te montre pas exagĂ©rĂ©ment sage+. Pourquoi causerais-​tu ta propre ruine+ ? 17 Ne sois pas excessivement mĂ©chant et ne sois pas stupide+. Pourquoi mourrais-​tu avant l’heure+ ? 18 Mieux vaut saisir le premier avertissement* sans lĂącher le deuxiĂšme*+ ; car celui qui craint Dieu les suivra tous les deux. 19 La sagesse rend un sage plus puissant que dix hommes forts prĂ©sents dans une ville+. 20 Car il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui fasse toujours le bien et ne pĂšche jamais+. 21 De plus, ne prends pas au sĂ©rieux toutes les paroles que les gens disent+ ; autrement, tu pourrais entendre ton serviteur te maudire* ; 22 car tu sais parfaitement dans ton cƓur que, bien des fois, tu as toi-​mĂȘme maudit les autres+. 23 Tout cela, je l’ai expĂ©rimentĂ© avec sagesse, et j’ai dit Je veux devenir sage. » Mais c’était hors de ma portĂ©e. 24 Ce qui s’est produit est inaccessible et extrĂȘmement profond. Qui peut le comprendre+ ? 25 J’ai ordonnĂ© Ă  mon cƓur de connaĂźtre, d’explorer et de rechercher la sagesse et la raison des choses, ainsi que de comprendre la mĂ©chancetĂ© de la bĂȘtise et la stupiditĂ© de la folie+. 26 J’ai alors dĂ©couvert ceci Plus amĂšre que la mort est la femme qui est comme un filet de chasse, dont le cƓur est comme des filets de pĂȘche* et dont les mains sont comme des chaĂźnes de prison. Celui qui plaĂźt au vrai Dieu lui Ă©chappera+, mais le pĂ©cheur est capturĂ© par elle+. 27 Voici ce que j’ai dĂ©couvert, dit le rassembleur+. J’ai examinĂ© une chose aprĂšs l’autre pour parvenir Ă  ma conclusion, 28 mais ce que j’ai cherchĂ© continuellement, je ne l’ai pas trouvĂ©. Sur mille personnes, j’ai trouvĂ© un homme droit, mais je n’ai pas trouvĂ© de femme droite. 29 J’ai seulement dĂ©couvert ceci le vrai Dieu a fait les humains droits+, mais eux ont suivi leurs propres plans+. » Notes d'Ă©tude Documents multimĂ©dias VidĂ©oTikTok de joyceemma58 (@joyceemma58) : « Le pĂ©pĂ© aussi n’a pas sciencĂ© hein 😂😂 la fin d’une chose vaut mieux que le commencement @tiktokivoirien ». Conseil de mĂ©mĂ©đŸ˜«. son original.
Ecclesiastes 78 Better [is] the end of a thing than the beginning thereof If the thing is good, other ways the end of it is worse; as the end of wickedness and wicked men, whose beginning is sweet, but the end bitter; yea, are the ways of death, Proverbs 54 1625 ; and so the end of carnal professors and apostates, who begin in the Spirit, and end in the flesh, Galatians 33 2 Peter 220 2 Peter 221 ; but the end of good things, and of good men, is better than the beginning; as the end of Job was, both with respect to things temporal and spiritual, Job 87 4212 ; see Psalms 3737 Matthew 1022 Luke 1625 ; [and] the patient in spirit [is] better than the proud in spirit; patience is a fruit of the Spirit of God; and is of great use in the Christian's life, and especially in bearing afflictions, and tends to make men more humble, meek, and quiet; and such are highly esteemed of God; on them he looks, with them he dwells, and to them he gives more grace; when such who are proud, and elated with themselves, their riches or righteousness, are abominable to him; see Luke 1615 1814 .
Car« la rĂšgle d’or c’est prĂ©cisĂ©ment qu’il n’y en a pas » ! Mais retenons ceci, « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ». Vous allez certainement ĂȘtre
"DĂ©mas m'a abandonnĂ©, par amour pour le siĂšcle prĂ©sent, et il est parti pour Thessalonique
 Prends Marc, et amĂšne-le avec toi, car il m'est utile pour le ministĂšre" 2 TimothĂ©e la vie, nous avançons toujours dans de bonnes ou de mauvaises directions. C'est pourquoi la question n'est pas de savoir si nous Ă©voluerons, mais plutĂŽt, dans quel sens allons-nous Ă©voluer ? Dans ce passage, Paul nous parle de deux parcours opposĂ©s celui de DĂ©mas et celui de Marc. ConsidĂ©rons premiĂšrement la vie de DĂ©mas dans un ordre chronologique les Écritures le mentionnent Ă  trois reprises. La premiĂšre fois, elles soulignent son statut de compagnon d'oeuvre de l'apĂŽtre Paul "Epaphras, mon compagnon de captivitĂ© en JĂ©sus-Christ, te salue, ainsi
 DĂ©mas, Luc, mes compagnons d'oeuvre" 2 TimothĂ©e DĂ©mas avait bien commencĂ© sa course mais il l’avait mal finie. Regardons maintenant Jean, surnommĂ© Marc. La premiĂšre fois qu'il nous est parlĂ© de son ministĂšre, c’est pour en Ă©voquer son abandon "Jean, surnommĂ© Marc, se sĂ©para d'eux, et retourna Ă  JĂ©rusalem" Actes Quelle tragĂ©die de commencer le ministĂšre par un abandon ! Puis, par la grĂące de Dieu, son cousin Barnabas "fils de l'encouragement" s'occupa de lui. Durant une dizaine d'annĂ©es on n’entendit plus parler de Marc. Pourtant il revint sur le devant de la scĂšne. Paul lui-mĂȘme l'appela son compagnon d'oeuvre PhilĂ©mon 24 ; 2 TimothĂ©e Paul a dĂ©clarĂ© qu'il lui Ă©tait "utile pour l'oeuvre du ministĂšre". Autrement dit, malgrĂ© un mauvais dĂ©part, Marc acheva victorieusement sa course ! La Bible dit "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" EcclĂ©siaste C’est une grĂące que de bien dĂ©buter votre vie chrĂ©tienne, mais n'oubliez pas de tenir ferme en Christ jusqu’au bout. Une priĂšre pour aujourd'hui Seigneur, tu ne mĂ©prises pas les petits commencements et tu n'Ă©teins pas le lumignon qui fume. Aussi quel que soit mon Ă©tat de ce jour, donne-moi la force d'aller jusqu'au bout. Amen. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

Lafin d'une chose vaut mieux que son commencement (1) (Pasteur Hugo) Vous serez mon peuple et je serai votre Dieu (2) (FrĂšre Lebrun) Vous serez mon peuple et je serai

1 La rĂ©putation vaut mieux que le bon parfum ; et le jour de la mort, que le jour de la naissance. 2 Il vaut mieux aller dans une maison de deuil, que d’aller dans une maison de festin ; car en celle-lĂ  est la fin de tout homme, et le vivant met cela en son cƓur. 3 Il vaut mieux ĂȘtre fĂąchĂ© que rire ; Ă  cause que par la tristesse du visage le cƓur devient joyeux. 4 Le cƓur des sages est dans la maison du deuil ; mais le cƓur des fous est dans la maison de joie. 5 Il vaut mieux ouĂŻr la rĂ©prĂ©hension du sage, que d’ouĂŻr la chanson des fous. 6 Car tel qu’est le bruit des Ă©pines sous le chaudron, tel est le ris du fou ; cela aussi est une vanitĂ©. 7 Certainement l’oppression fait perdre le sens au sage ; et le don fait perdre l’entendement. 8 Mieux vaut la fin d’une chose, que son commencement. Mieux vaut l’homme qui est d’un esprit patient, que l’homme qui est d’un esprit hautain. 9 Ne te prĂ©cipite point dans ton esprit pour te dĂ©piter ; car le dĂ©pit repose dans le sein des fous. 10 Ne dis point D’oĂč vient que les jours passĂ©s ont Ă©tĂ© meilleurs que ceux-ci ? Car ce que tu t’enquiers de cela n’est pas de la sagesse. 11 La sagesse est bonne avec un hĂ©ritage, et ceux qui voient le soleil reçoivent de l’avantage d’[elle]. 12 Car [on est Ă  couvert] Ă  l’ombre de la sagesse, de mĂȘme qu’à l’ombre de l’argent ; mais la science a cet avantage, que la sagesse fait vivre celui qui en est douĂ©. 13 Regarde l’Ɠuvre de Dieu ; car qui est-ce qui pourra redresser ce qu’il aura renversĂ© ? 14 Au jour du bien, use du bien, et au jour de l’adversitĂ©, prends-y garde ; car Dieu a fait l’un Ă  l’opposite de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien Ă  [redire] aprĂšs lui. 15 J’ai vu tout ceci pendant les jours de ma vanitĂ© ; il y a tel juste, qui pĂ©rit dans sa justice ; et il y a tel mĂ©chant, qui prolonge [ses jours] dans sa mĂ©chancetĂ©. 16 Ne te crois pas trop juste, et ne te fais pas plus sage qu’il ne faut ; pourquoi en serais-tu surpris ? 17 Ne sois point trop remuant, et ne sois point fou ; pourquoi mourrais-tu avant ton temps ? 18 Il est bon que tu retiennes ceci, et aussi que tu ne retires point ta main de l’autre ; car qui craint Dieu sort de tout. 19 La sagesse donne plus de force au sage, que dix Gouverneurs qui seraient dans une ville. 20 Certainement il n’y a point d’homme juste sur la terre, qui agisse [toujours] bien, et qui ne pĂšche point. 21 Ne mets point aussi ton cƓur Ă  toutes les paroles qu’on dira, afin que tu n’entendes pas ton serviteur mĂ©disant de toi. 22 Car aussi ton cƓur a connu plusieurs fois que tu as pareillement mal parlĂ© des autres. 23 J’ai essayĂ© tout ceci avec sagesse, et j’ai dit J’acquerrai de la sagesse ; mais elle s’est Ă©loignĂ©e de moi. 24 Ce qui a Ă©tĂ©, est bien loin, et il est enfoncĂ© fort bas ; qui le trouvera ? 25 Moi et mon cƓur nous nous sommes agitĂ©s pour savoir, pour Ă©pier, et pour chercher la sagesse, et la raison [de tout] ; et pour connaĂźtre la malice de la folie, de la bĂȘtise, [et] des sottises ; 26 Et j’ai trouvĂ© que la femme qui est [comme] des rets, et dont le cƓur est [comme] des filets, et dont les mains sont [comme] des liens, est une chose plus amĂšre que la mort ; celui qui est agrĂ©able Ă  Dieu en Ă©chappera, mais le pĂ©cheur y sera pris. 27 Vois, dit l’EcclĂ©siaste, ce que j’ai trouvĂ© en cherchant la raison de toutes choses, l’une aprĂšs l’autre ; 28 C’est, que jusqu’à prĂ©sent mon Ăąme a cherchĂ©, mais que je n’ai point trouvĂ©, c’est, [dis-je], que j’ai bien trouvĂ© un homme entre mille ; mais pas une femme entre elles toutes. 29 Seulement voici ce que j’ai trouvĂ© ; c’est que Dieu a créé l’homme juste ; mais ils ont cherchĂ© beaucoup de discours.

Lafin d’une chose vaut mieux que son commencement Report this post Laetitia Adje Laetitia Adje Gestion de projets / Financement Published Jul 3, 2021 + Follow Je termine une confĂ©rence sur le

"Heureux ceux qui sont pauvres en esprit, car le royaume des cieux est Ă  eux." Matthieu Des personnes de tous horizons se rassemblĂšrent autour de JĂ©sus pour l'entendre. Il y avait lĂ  des pauvres, des tristes, des humbles, des altruistes, des opprimĂ©s, des persĂ©cutĂ©s, etc. C'est Ă  eux que JĂ©sus prĂȘcha le plus beau des messages. Il leur enseigna Ă  aimer la vie, malgrĂ© ses difficultĂ©s. A changer leur mentalitĂ©, Ă  voir diffĂ©remment. D'ailleurs, qui peut rendre un seul de ses cheveux blanc ou noir ?Le bonheur, c'est comme l'air. Il vous entoure, il est Ă  votre portĂ©e. Certains ratent la course car ils pensent qu'ils ont eu de mauvaises cartes en main au dĂ©part de leur vie. Leur expression favorite "Ah, si j'Ă©tais mieux né " devient un handicap supplĂ©mentaire, un Ă©norme caillou dans leur chaussure ! Parfois, l'homme croit que c'est en modifiant certaines donnĂ©es, qu'il pourra enfin goĂ»ter au bonheur. Cependant, il y a des choses qui ne changeront jamais. La couleur de votre peau, les parents que vous avez eus, le pays et l'Ă©poque oĂč vous ĂȘtes nĂ©, certains traits physiques taille, couleur des yeux, etc. Certains Ă©vĂšnements que vous ne pouvez pas contrĂŽler comme la vieillesse et la mort. C'est le "sort" de l'ĂȘtre humain. Rejeter cela est une perte de temps et d'Ă©nergie. Vivre heureux sous-entend accepter votre-arriĂšre plan avec ce qui est immuable. Il y a une portion de votre vie qui est modifiable et une autre qui ne l'est pas. Avez-vous remarquĂ© combien vous pouvez vous rendre malheureux Ă  force de croire que vous n'ĂȘtes pas heureux ? Le bonheur, c'est comme l'air. Il vous entoure, il est Ă  votre portĂ©e. Votre idĂ©e du bonheur est le plus souvent la cause mĂȘme de votre malheur car vous pourchassez un mirage ; plus vous vous rapprochez de ce que vous pensez ĂȘtre "le bonheur", plus il s'Ă©vapore, car la conception que vous vous en faites est erronĂ©e. Le bonheur est le rĂ©sultat d'une vie exempte de stress et d'inquiĂ©tude. Une priĂšre pour aujourd'hui Seigneur, mĂȘme si je ne suis pas bien nĂ© selon mes standards, je rĂ©alise que ma vie est entre tes mains.

Ecclésiaste7:8 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. Read verse in Ostervald (French) Ecclésiaste 7:8 - OST Bible - Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement Bible Study Tools JOIN PLUS PLUS Login. Bible Bible Versions Verse of the Day Verses by Topic Reading Plans Parallel Bible
Souvent, on est trĂšs encouragĂ© pour dĂ©buter un projet ou une action. Toutefois, on a tendance Ă  s'essouffler pendant la course... Dieu regarde pourtant au processus et Ă  la fin de notre course plutĂŽt qu'Ă  son commencement. Tu souhaites en savoir plus ? Recevez gratuitement notre livre numĂ©rique "10 clĂ©s qui vous aideront Ă  adorer Dieu dans votre quotidien" Comment mettre Dieu au cƓur de sa vie, le Seigneur cherche des personnes qui l’adorent en esprit et en vĂ©ritĂ©. Ce livre aborde des thĂšmes comme la priĂšre, la louange, les relations, le pardon, la foi... Cet ebook vous encouragera Ă  aller plus loin avec Dieu. Votre adresse email sera uniquement utilisĂ©e par Rev’Impact pour vous envoyer votre newsletter. Vous pouvez vous dĂ©sinscrire Ă  tout moment en utilisant le lien de dĂ©sabonnement intĂ©grĂ© dans la newsletter. Pour en savoir plus et exercer vos droits, prenez connaissance de notre Charte de confidentialitĂ©. Auteur Steve RiviĂšre StĂšve rencontre le Seigneur en mars 2002 Ă  l’üle de la RĂ©union, il est mariĂ© Ă  Sandrine et papa de 3 magnifiques enfants. Quelques temps plus tard, il expĂ©rimente l'une de ses premiĂšres plus importantes expĂ©riences spirituelles Dieu le rĂ©veille en pleine nuit et lui parle, de façon audible, concernant la mission qu'Il lui confie asseoir le Royaume de Dieu dans la profondeur des coeurs de ceux de la nation » En 2006, son Ă©pouse et lui sont ordonnĂ©s Pasteurs puis en 2010 il reçoit de la part de Dieu, de mettre en place l’Ecole Biblique DestinĂ©e pour que tous les chrĂ©tiens puissent travailler Ă  leur appel et entrer dans leur destinĂ©e. Il a reçu cette forte conviction, de libĂ©rer Ă  partir de la vĂ©ritĂ© de la Parole; le potentiel qu’est Christ dans la vie des enfants de Dieu. Cette phrase "libĂšre la destinĂ©e de mes enfants, car les solutions pour les maux de la sociĂ©tĂ© sont renfermĂ©es dans leur appel, leur destinĂ©e »; rĂ©sonnait dans son coeur. Steve RiviĂšre est enseignant et responsable de l’école DestinĂ©e. Il est aussi pasteur de l’église Destinee Ă  l’üle de la RĂ©union et l'auteur des livres "Progresse" et "L'Église destinĂ©e aux exploits". Passez sur autre article Newsletter Inscrivez-vous Ă  notre newsletter pour recevoir les derniĂšres nouvelles. NouveautĂ©s Aujourd'hui RĂ©cents Populaires Aucun article pour le moment. Advertise Mieuxvaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. 7.9 Ne te hĂąte pas en ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensĂ©s. 7.10 Ne dis pas: D'oĂč vient que les jours passĂ©s Ă©taient meilleurs que ceux ci? Car ce n'est point par sagesse que tu demandes cela. 7.11 La sagesse vaut autant qu'un hĂ©ritage, et
Versets les plus Pertinents Job 87 Ton ancienne prospĂ©ritĂ© semblera peu de chose, Celle qui t'est rĂ©servĂ©e sera bien plus grande. ÉsaĂŻe 4319 Voici, je vais faire une chose nouvelle, sur le point d'arriver Ne la connaĂźtrez-vous pas? Je mettrai un chemin dans le dĂ©sert, Et des fleuves dans la solitude. Exode 122 Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois; il sera pour vous le premier des mois de l'annĂ©e. EcclĂ©siaste 78 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. Proverbes 910 Le commencement de la sagesse, c'est la crainte de l'Éternel; Et la science des saints, c'est l'intelligence. Marc 11 Commencement de l'Évangile de JĂ©sus Christ, Fils de Dieu. Jean 11 Au commencement Ă©tait la Parole, et la Parole Ă©tait avec Dieu, et la Parole Ă©tait Dieu. Proverbes 17 La crainte de l'Éternel est le commencement de la science; Les insensĂ©s mĂ©prisent la sagesse et l'instruction. ÉsaĂŻe 4610 J'annonce dĂšs le commencement ce qui doit arriver, Et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli; Je dis Mes arrĂȘts subsisteront, Et j'exĂ©cuterai toute ma volontĂ©. 2 Pierre 220 En effet, si, aprĂšs s'ĂȘtre retirĂ©s des souillures du monde, par la connaissance du Seigneur et Sauveur JĂ©sus Christ, ils s'y engagent de nouveau et sont vaincus, leur derniĂšre condition est pire que la premiĂšre. GenĂšse 11 Au commencement, Dieu crĂ©a les cieux et la terre. Lamentations 323 Elles se renouvellent chaque matin. Oh! que ta fidĂ©litĂ© est grande! Proverbes 822 L'Éternel m'a créée la premiĂšre de ses oeuvres, Avant ses oeuvres les plus anciennes. HĂ©breux 110 Et encore Toi, Seigneur, tu as au commencement fondĂ© la terre, Et les cieux sont l'ouvrage de tes mains; Tite 12 lesquelles reposent sur l'espĂ©rance de la vie Ă©ternelle, promise dĂšs les plus anciens temps par le Dieu qui ne ment point, Marc 106 Mais au commencement de la crĂ©ation, Dieu fit l'homme et la femme; Jean 33 JĂ©sus lui rĂ©pondit En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je te le dis, si un homme ne naĂźt de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Romains 117 parce qu'en lui est rĂ©vĂ©lĂ©e la justice de Dieu par la foi et pour la foi, selon qu'il est Ă©crit Le juste vivra par la foi. Matthieu 194 Il rĂ©pondit N'avez-vous pas lu que le crĂ©ateur, au commencement, fit l'homme et la femme Au dĂ©but DĂ©but DĂ©but et fin La Bible La CrĂ©ation De Dieu Le Future Le PassĂ© Lire La Bible Un Nouveau Commancement Un Nouveau Jour
2Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d'aller dans une maison de festin; car c'est lĂ  la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose Ă  coeur. 3 Mieux vaut le chagrin que le rire; car avec un visage triste le coeur peut ĂȘtre content. 4 Le coeur des sages est dans la maison de deuil, et le coeur des insensĂ©s dans la maison de
"Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" EcclĂ©siaste Voici une affirmation pĂ©remptoire qui demande rĂ©flexion. On est en droit de s'interroger sur sa validitĂ© en toutes circonstances. Certes, il est des cas oĂč elle s'applique sans problĂšme. Depuis pas mal de temps, nous commencions Ă  avoir honte de notre salon. Le poĂȘle-cheminĂ©e qui, parfois, s'emballait en hiver et chauffait outrageusement, avait provoquĂ© le dĂ©collement d'une grande partie du papier peint, qui, par endroits, ne tenait plus que par des punaises. De plus, sa couleur Ă©tait un tantinet dĂ©fraĂźchie ! Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !
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Media Goshen 30 novembre 2021 Les rideaux sont tombĂ©s ce dimanche 28 novembre d'une convention de 7 jours de priĂšre des mamans qu'organise la Mission EvangĂ©lique Goshen dans le thĂšme principal "Femme rĂ©veilles-toi", qui a ouvert ses portes depuis le lundi 22 novembre 2021. Pour ce dimanche c'est l'apĂŽtre Iva DIBA wa NZAMBI qui Ă©tait au perchoir de l'Ă©vangile. Tout a commencĂ© par un message que Dieu a donnĂ© Ă  son prophĂšte EvangĂ©liste Pasteur Iva DIBA wa NZAMBI. Pour ce dernier temps, il y aura une forte crise; beaucoup d'hommes de Dieu meurent et beaucoup manqueront Ă  manger. Sur ce, Dieu lui a recommandĂ© des priĂšres fortes qui vont commencer du Lundi 6 au Dimanche 12 dĂ©cembre avec les diffĂ©rents orateurs d'ailleurs. Revenant au thĂšme du jour "Femmes rĂ©veilles-toi" le visionnaire de Goshen apĂŽtre Iva DIBA wa NZAMBI a signifiĂ© qu'il y a deux femmes la source de la premiĂšre femme c'est Adam qui Ă©tait endormi et Dieu enlevait son os. Pourquoi cet os n'Ă©tait de la tĂȘte oĂč des bras, c'Ă©tait pour que la femme soit soumise. La deuxiĂšme femme, il fallait que JĂ©sus soit pointu Ă  la croix et que les sangs coulent afin que l'Ă©glise existe donc, ce dernier est la deuxiĂšme femme. Pour le number one de Goshen, Ă  ce moment, il n'y a pas la soumission dans l'Ă©glise. Est-ce que vous respectez la parole de Dieu? S'interrogea-t-il? Dans la soumission nous voyons l'obĂ©issance, l'humilitĂ© et s'oubliĂ©, ceci afin que Dieu puisse vous Ă©levez. Les autres commencent Ă  utiliser Dieu comme un anti-incendie, attaches-toi Ă  Dieu et rĂ©veilles-toi avait dit le chasseur des dĂ©mons dans le monde nous citons apĂŽtre Iva DIBA wa NZAMBI. Le berger de Goshen a ajoutĂ© qu'il y a actuellement les hommes de Dieu Ă  faire l'impudicitĂ© dans l'Ă©glise, mĂȘme les musiciens chrĂ©tiens identiques. Cela il revient Ă  dire qu’ils sont endormis. Il faut Ă©viter d'ĂȘtre un chrĂ©tien d'aller et de retour; Ă©vitez le sommeil, car, ça tue, rĂ©veillez-vous. L'homme de Dieu avait touchĂ© l'exemple de l'apĂŽtre Pierre qui Ă©tait pĂȘcheur des poissons et qui Ă©tait devenu pĂȘcheur d'Ăąmes. Le sommeil signifie une personne qui n'a encore Christ en lui a laissĂ© entendre le reprĂ©sentant lĂ©gal de la Mission EvangĂ©lique Goshen apĂŽtre Iva DIBA wa NZAMBI. Ton effort personnel compte pour sortir dans la situation dont tu te retrouves. Il est temps de se dĂ©barrasser de la sĂ©cheresse. Il faut attendre ton temps, ne te prĂ©cipites pas et laisses que ta bĂ©nĂ©diction soit mĂ»re a articlĂ© le prophĂšte Iva DIBA wa NZAMBI. Poursuivant son speech du jour l'ange de Goshen a demandĂ© aux enfants de Dieu d'Ă©viter l'impudicitĂ© prostitution; le pĂ©chĂ©. Sur le plan physique la femme qui est endormie se rĂ©veille Ă  16h ou 17h et se lave; sur le plan spirituel la femme doit avoir la prĂ©sence de Dieu Ă  tout moment. Pour clore son message le bulldozer de l'Ă©vangile dans monde a explicitĂ© la saletĂ© et le sommeil ce sont les pĂ©chĂ©s, il faut les Ă©viter. Et on doit se relever quand on tombe car la bible dit" Quand une personne pĂ©chĂ©, il doit nettoyer ses habits et se rĂ©veiller". Regardes-toi, si, tes yeux voient, car, tu Ă©tais dans le sommeil. RĂ©veilles-toi et attaches-toi Ă  Dieu a renchĂ©ri l'apĂŽtre l'apĂŽtre Iva DIBA wa NZAMBI. GenĂšse 221-22; 1022; EphĂ©siens 525 ont soutenu le visionnaire de Goshen de bien expliquer son thĂšme et une forte priĂšre avait sanctionnĂ© sa prĂ©dication. Le programme de la semaine prĂ©voit Mardi culte de discipolat et affermissement de 16h00 Ă  18h00; Mercredi de 6h00 Ă  9h30 un culte de renouvellement de la bontĂ© de Dieu; Jeudi de 7h30 Ă  15h00 service de DĂ©livrance et audience avec le pasteur; le mĂȘme Jeudi Ă  partir de 17h00 Ă  19h30 culte des mamans; Vendredi de 16h00 Ă  19h30 culte d'annulation des noms et d'attaque, le mĂȘme Vendredi de 00h00 Ă  3h00 une forte veillĂ©e de priĂšre dĂ©nommĂ©e "Nuit de changement"; Samedi de 15h30 Ă  17h30 culte de la Jeunesse et le Dimanche de 8h30 Ă  11h30 culte d'adoration et action de grĂące. La Mission EvangĂ©lique Goshen Notre Adresse Avenue Dibaya N°69, Quartier Lodja, Kinshasa RĂ©f. Croisement des avenues Shaba et Dibaya Le Dieu de Iva DIBA wa NZAMBI agit encore.
Duolingon’est pas une bonne mĂ©thode d’apprendre une langue. La progression reste lente et on mĂ©morise par rĂ©pĂ©tition avant de passer au sujet suivant. Les mĂ©thodes conventionnelles sont bien plus efficaces, surtout que l’apprentissage d’une langue se fait par communication.
Chapitre 7 Le caractĂšre de plus en plus proverbial des chapitres qui suivent nous oblige Ă  les considĂ©rer d’une maniĂšre beaucoup plus dĂ©taillĂ©e. Ce chapitre introduit un nouveau sujet que l’on pourrait intituler La conduite de la sagesse dans un monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait, c’est-Ă -dire au milieu de ce qui n’est que vanitĂ©, douleur et folie. Dans les v. 1-9, nous voyons qu’il y a dans ce monde des choses qui valent mieux que d’autres. MalgrĂ© tout le dĂ©sordre et la ruine le sage s’appliquera Ă  les rechercher et y trouvera son profit. Nous avons dĂ©jĂ  constatĂ© une pensĂ©e semblable au chap. 49-14. Ici les choses profitables sont beaucoup plus accentuĂ©es et se trouvent en opposition directe avec ce que le monde choisit ou prĂ©fĂšre. Le sage se trouve nĂ©cessairement isolĂ© dans un monde oĂč rĂšgne la mort, fruit du pĂ©chĂ©. Mais cette scĂšne elle-mĂȘme lui offre des choses meilleures. Elles sont au nombre de sept, chiffre des choses complĂštes. 1° Mieux vaut une bonne renommĂ©e que le bon parfum». En Prov. 221, la bonne renommĂ©e parmi les hommes vaut mieux que de grandes richesses; ici elle est considĂ©rĂ©e des yeux de Dieu et vaut mieux devant Lui que l’huile parfumĂ©e dont Ă©taient oints les sacrificateurs pour accomplir leur service Ex. 3023-33. C’est par lĂ  que commence l’activitĂ© du sage. 2° Et le jour de la mort que le jour de la naissance». Cette pensĂ©e fait suite au n° 1. Arriver au jour de la mort ayant rĂ©alisĂ© une rĂ©elle consĂ©cration Ă  Dieu vaut mieux que l’entrĂ©e dans le monde. Deux fois, dans la vie du sage, cette derniĂšre lui avait fait dĂ©sirer de n’ĂȘtre jamais nĂ© 43; 64, 5. 3° Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que lĂ  est la fin de tout homme; et le vivant prend cela Ă  cƓur». Dans ce monde oĂč la mort domine, la maison oĂč le deuil est entrĂ© vaut mieux que celle oĂč rĂšgne la joie. Il convient au sage de frĂ©quenter la premiĂšre, car il s’y trouve en prĂ©sence de la rĂ©alitĂ©, de la fin de tout homme, consĂ©quence du pĂ©chĂ© qui rĂšgne dans le monde. Le vivant prend cela Ă  cƓur; il voit oĂč aboutit tout le travail de l’homme sous le soleil; il ne nourrit pas des espoirs et des projets que la mort peut anĂ©antir. 4° Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cƓur est rendu meilleur par la tristesse du visage. Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, mais le cƓur des sots, dans la maison de joie». Assister au chagrin d’autrui, voir les larmes couler, rend le cƓur meilleur, le dispose Ă  la sympathie, le pousse Ă  offrir des consolations. Il en est de mĂȘme, non seulement pour celui qui voit souffrir, mais aussi pour celui qui souffre. C’est par la tristesse du visage que Dieu agit sur le cƓur de l’homme pour lui faire trouver des choses meilleures. DisposĂ© ainsi, le cƓur des sages est dans la maison de deuil; c’est le lieu oĂč les affections peuvent ĂȘtre en exercice. Le cƓur des sots ne connaĂźt rien de ces bĂ©nĂ©dictions; la joie d’un moment leur suffit. Qu’en restera-t-il? N’est-ce pas le texte mĂȘme de l’EcclĂ©siaste? Celui qui mĂšne le deuil est estimĂ© bienheureux par le Seigneur, car il sera consolĂ© Matt. 54; et, pour le chrĂ©tien une bĂ©nĂ©diction descend sur lui de la part du Dieu de toute consolation, et cette consolation est Ă©ternelle 2 Thess. 216. 5° Mieux vaut Ă©couter la rĂ©prĂ©hension du sage, que d’écouter la chanson des sots. Car comme le bruit des Ă©pines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanité». Les sages profitent des expĂ©riences qu’ils ont faites, pour conduire leur prochain dans le droit chemin. Ils ont acquis l’autoritĂ© pour reprendre et redresser. Il vaut mieux les Ă©couter et en faire son profit que d’écouter la chanson des sots sons agrĂ©ables Ă  l’oreille, mais qui n’ont pas plus de sens que ceux qui les Ă©mettent. Le rire du sot ne dure pas; il s’éteint bien vite comme un feu d’épines sous la marmite; il ne bruit et ne flambe qu’un instant. AprĂšs, tout retombe dans le silence de la mort. Cela aussi est vanitĂ©. 6° Certainement, l’oppression rend insensĂ© le sage, et le don ruine le cƓur. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement». Il y a pour le sage deux dangers dans ce monde. D’abord l’oppression qui le rend insensĂ© en le poussant Ă  la rĂ©volte, quand il voit toutes les injustices qui se commettent sous le soleil cf. 41-3. Ensuite, danger plus grand encore, le don par lequel le cƓur se laisse corrompre et pousser aux pires actions. Tels sont du reste toujours les deux moyens employĂ©s par Satan pour perdre les hommes la violence et la corruption ou la ruse. C’est pourquoi la fin vaut mieux que le commencement. Un cƓur qui a eu affaire au mal sans colĂšre et sans rĂ©volte, qui a refusĂ© les prĂ©sents et ne s’est pas laissĂ© sĂ©duire, arrive vainqueur au bout de l’épreuve et telle Ă©tait la fin que Dieu voulait produire1. 1 Telle est du moins l’explication de ce passage difficile que nous soumettons au lecteur chrĂ©tien. 7° Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. Ne te hĂąte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des sots». Dans toutes ces Ă©preuves, le sage a appris la patience; il ne s’est pas Ă©levĂ© devant le mal et contre lui. La patience est toujours humble, douce, paisible; elle sait souffrir; elle atteint les choses promises HĂ©breux 615. La patience est le caractĂšre mĂȘme du Christ. Celui qui est patient ne se hĂąte ni ne s’irrite. Merveilleux tableau de la vie du sage au milieu de circonstances, fruit du pĂ©chĂ©, et qui sont toutes faites pour provoquer sa colĂšre, l’irriter ou le sĂ©duire. Il traverse un monde dont il connaĂźt bien le caractĂšre, n’y attend que souffrance, mais en est victorieux en suivant des principes diamĂ©tralement opposĂ©s Ă  tout ce qui dirige les hommes. v. 10-12. Il n’est pas sage de dire que le temps passĂ© Ă©tait meilleur que le prĂ©sent, chose que tous les hommes non pas les sages sont toujours portĂ©s Ă  penser. Dire cela n’est pas la sagesse, car elle a un jugement clair sur l’état du monde, et ce serait en contradiction avec tout ce que le PrĂ©dicateur nous a appris quand il a prononcĂ© le terrible mot Vanité» sur tout ce qui est sous le soleil depuis la chute. Si tout est perdu et corrompu, il reste une chose aussi bonne qu’un hĂ©ritage, la possession de la pensĂ©e divine. Elle est profitable; elle met Ă  l’abri, de la mĂȘme maniĂšre que, dans l’ordre des choses humaines, les richesses mettent Ă  l’abri. Elle est, de fait, la seule permanente richesse. Bien plus, elle est une source de vie pour celui qui la possĂšde. Combien plus nous, chrĂ©tiens, pouvons-nous dire La sagesse fait vivre celui qui la possĂšde», nous qui possĂ©dons Christ, la sagesse de Dieu I Cor. 124. v. 13, 14. ConsidĂšre l’Ɠuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu? Au jour du bien-ĂȘtre, jouis du bien-ĂȘtre, et, au jour de l’adversitĂ©, prends garde; car Dieu a placĂ© l’un vis-Ă -vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien de ce qui sera aprĂšs lui». Le sage continue Ă  se mouvoir au milieu d’un monde gĂątĂ© par le pĂ©chĂ©. Il y rencontre l’Ɠuvre de Dieu et le rĂ©sultat du mal, qui ne peut ĂȘtre redressĂ© et oĂč les choses sont tordues par le pĂ©chĂ© 115. Mais ces choses tordues, Dieu les laisse subsister et en fait usage. Il a mis l’un vis-Ă -vis de l’autre le jour du bien-ĂȘtre dont l’homme est invitĂ© Ă  jouir et le jour de l’adversitĂ© qui le porte Ă  rĂ©flĂ©chir. De cette maniĂšre, l’homme est laissĂ© dans l’ignorance de ce qui sera aprĂšs lui. Une pareille conclusion est pleinement d’accord avec le livre de l’EcclĂ©siaste oĂč tout accĂšs aux choses invisibles est cachĂ© Ă  l’homme afin qu’il apprenne Ă  voir la vanitĂ© des choses qui l’entourent et dont la chute de l’homme a entiĂšrement troublĂ© l’harmonie. Le v. 15 confirme ce que nous venons de dire J’ai vu tout cela dans les jours de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit par sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge ses jours par son iniquité». Ces jours de vanitĂ© qui ont rempli la vie du sage l’ont amenĂ© Ă  voir la contradiction absolue entre ce qui est tordu et ce qui, selon Dieu, aurait dĂ» ĂȘtre. La justice du juste le conduit Ă  la mort! N’est-ce pas comme une anticipation prophĂ©tique de ce que rencontrera JĂ©sus lui-mĂȘme? D’autre part il y a tel mĂ©chant dont l’iniquitĂ© prolonge les jours. La vue du PrĂ©dicateur est toujours limitĂ©e par ce qui se passe sous le soleil». Combien les Psaumes, par exemple, diffĂšrent de cette conception quand ils nous dĂ©crivent ce qui attend les mĂ©chants! Les v. 16-18 font suite Ă  ce que nous venons de voir. Le PrĂ©dicateur avait parlĂ© de justice et de mĂ©chancetĂ©. Il montre maintenant qu’il peut y avoir excĂšs dans les deux directions, et quelles en sont les consĂ©quences. La mesure peut ĂȘtre dĂ©passĂ©e quand il s’agit de justice et de sagesse. Ce n’est pas autre chose, dans ce cas, que l’orgueil qui nous fait exagĂ©rer ces vertus pour nous rehausser par elles; or l’orgueil va devant l’écrasement Pourquoi, dit le PrĂ©dicateur, te dĂ©truirais-tu?» — Mais on peut ĂȘtre mĂ©chant Ă  l’excĂšs une telle pensĂ©e est en accord avec ce Livre qui nous dĂ©peint le monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait et ne substitue pas des principes nouveaux Ă  ce dĂ©sordre parce qu’il ne suppose pas une RĂ©vĂ©lation qui les introduise. Ici donc, l’excĂšs de la mĂ©chancetĂ© est considĂ©rĂ© comme amenant sur l’homme la mort avant le temps fixé». Quel que soit le triste Ă©tat du monde, il reste le théùtre du gouvernement de Dieu qui condamne tout excĂšs dans l’homme et lui en fait porter les consĂ©quences, surtout quand sa mĂ©chancetĂ© se donne carriĂšre. Combien cela est frappant dans l’état actuel du monde oĂč la mĂ©chancetĂ© de l’homme ne connaĂźt plus de bornes. Cet Ă©tat est le fruit de l’absence complĂšte de crainte de Dieu Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela; car qui craint Dieu sort de tout». Voici la troisiĂšme fois que le mot craindre Dieu», revient dans ce Livre voyez 314; 5, 7, comme la seule chose qui mette l’homme Ă  l’abri du jugement. v. 19. AprĂšs avoir prĂ©muni contre l’excĂšs de sagesse, le PrĂ©dicateur en proclame hautement les mĂ©rites La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville». Elle n’est pas seulement une source de vie pour celui qui la possĂšde v. 12, mais le sage y trouve la force dont il a besoin. Il est gardĂ© par elle contre les attaques de l’ennemi, plus qu’une ville par dix hommes puissants. Mais, v. 20-24, par la sagesse j’apprends Ă  me connaĂźtre. Elle est d’origine divine et me fait savoir ce que Dieu mĂȘme dĂ©clare Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas pĂ©ché». Et cela concerne aussi bien le sage que les autres hommes. Le sage est-il le seul qui ait fait le bien? A-t-il Ă©coutĂ© de faux rapports? S’est-il fait maudire par son esclave? MaĂŻs, combien de fois lui-mĂȘme n’a-t-il pas maudit les autres! Combien de fois, quand il a dit Je serai sage», la sagesse s’est enfuie loin de lui? Et comment rĂ©parer le mal produit par ce manque de vigilance? Aux v. 25-29, le PrĂ©dicateur raconte sa propre histoire, une histoire amĂšre, en vĂ©ritĂ©! Il s’est appliquĂ©, comme il l’a dit au commencement de son Livre 117, Ă  rechercher la sagesse et Ă  connaĂźtre que la mĂ©chancetĂ© et la folie sont sottise et dĂ©raison. La tentation et la sĂ©duction sont venues Ă  lui par le moyen de la femme 1 Rois 114, et au lieu de lui Ă©chapper, lui que Dieu avait si grandement favorisĂ©, a pĂ©chĂ© et est devenu la proie de la sĂ©ductrice. Il a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  la cruelle constatation, plus amĂšre que la mort», qu’il n’y a pas une femme entre elles toutes» qui n’attire les convoitises comme des filets et des rets», et dont les mains ne soient des chaĂźnes pour retenir captif celui qu’elle a saisi. Et mĂȘme, quelle insigne raretĂ© de trouver un homme sur la terre qui puisse venir en aide par sa sagesse ou son intelligence J’ai trouvĂ© un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvĂ©e». — Seulement, si la recherche du sage l’a amenĂ© Ă  ces dĂ©solantes conclusions, il en a retirĂ© un profit Voici, j’ai trouvĂ© que Dieu a fait l’homme droit; mais eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements» v. 29. L’homme sorti des mains de son CrĂ©ateur, au commencement, Ă©tait droit. Le PrĂ©dicateur a montrĂ© plus haut que la CrĂ©ation Ă©tait belle 311, et que maintenant tout est tordu 115; 713. La ruine est survenue, non pas du fait de Dieu, mais du fait de l’homme Eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements». Tel a Ă©tĂ© le cas dans le jardin d’Éden quand la femme vit que le fruit de l’arbre Ă©tait bon Ă  manger et qu’il Ă©tait un plaisir pour les yeux et que l’arbre Ă©tait dĂ©sirable pour rendre intelligent. Que de raisonnements! Et dĂšs lors il en a toujours Ă©tĂ© de mĂȘme. .