🍺 Poeme Je Te Quitte Pour Ne Plus Souffrir

Poèmecomme+voulant - 3 Poèmes sur comme+voulant. Poésie française. Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poème; Poèmes; Poètes; Nouveaux poèmes; Poème comme+voulant - 3 Poèmes sur comme+voulant 3 poèmes 1 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): caecum caecums cama camai camaïeu camais camait camâmes camas camât came camé camée Expéditeur Conversation S_Ramstrom Envoyé le 15/10/2021 1525 Plume de soieInscrit le 17/9/2015De Envois 134 Ne nous quitte pasNe nous quitte pasLa vie t'a trahie, elle t'a même poignardéeEt tu sens ta jeunesse partir en fuméeCar des monstres voraces s'en prennent à ta puretéMais par pitié mon ami, bas toi, ne nous quitte pasNe nous quitte pasJe suis là pour toi, jusqu'au dernier soupirJe me battrai pour toi, même s'il faut en mourirJe ne les laisserai pas t'abattre et te détruire Je t'en supplie, non, ne fais pas çaNe nous quitte pasIl y a tant à vivre, il y a tant à voirJe te supplie de rester, je te supplie d'y croireReste avec moi encore, ne pars pas ce soirNe pars pas comme ceux qui ont baissé les brasNe nous quitte pasNous soignons les corps, les âmes, et les chagrinsLaisse moi te soigner, si tel est mon destin,Écoute moi mon ami, reste et prend ma mainIls ne valent pas la peine, que tu meurs pour ça-"Le souvenir est un poète, n'en fais pas un historien" not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light" S_Ramstrom Envoyé le 15/10/2021 1528 Plume de soieInscrit le 17/9/2015De Envois 134 Re Ne nous quitte pasJ'écris ce poème comme message de détresse a un ami qui m'est 75% des internes et étudiants en médecine souffrent d'anxiété, 40% ont des signes de dépression sévère. Voulez-vous être soigné par des médecins à bout de souffle ? À bout de vie ?Rien que dans mes amis proches, 2 ont fait des tentatives de suicide ce interne se suicide tous les 18 jours. Ils ne pourront plus vous souvenir est un poète, n'en fais pas un historien" not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light" Isabell Envoyé le 15/10/2021 1552 Plume de platineInscrit le 30/1/2009De BelgiqueEnvois 2275 Re Ne nous quitte pasVotre poème est particulièrement poignant, , de même que le contexte vous ayant amené à le rédiger !Je ne savais pas que le mal-être allait jusqu'à une telle detresse dans le milieu médical. Force à votre ami. Merci d'avoir rédigé cette texte pour à vous Nos soignants. - ZAGHBENIFE Envoyé le 15/10/2021 1558 Mascotte d'OasisInscrit le 7/11/2015De ALGEREnvois 28423 Re Ne nous quitte pasvraiment tragique, je vois que la terre avec tous ces spasmes qui la serrent, elle va devenir un asile d'aliénés à ciel ouvertcourage et patience pour l'aider à se reprendre, la vie est faite d'épreuves, il faut avoir du courage pour les affronter - anonyme Envoyé le 15/10/2021 1712 Re Ne nous quitte pasun bien triste constat, j'espère que votre ami vous écoutera et remontera la pente , courage à lui jajaro Envoyé le 15/10/2021 1739 Plume de platineInscrit le 28/3/2018De NantesEnvois 2388 Re Ne nous quitte pasVoilà un cri particulièrement déchirant, j'ignorais qu'une telle détresse puisse exister dans votre milieu. Courage, nous avons besoin de vous !Chaleureuses pensées...Roger. RomaneJones Envoyé le 15/10/2021 1752 Plume de platineInscrit le 6/12/2019De GirondeEnvois 2184 Re Ne nous quitte pasBonjourPoignant poème qui dit le vrai...Terrible mal-être du corps médical!Les internes sont l'avenir de la santé!Courage à votre EvilFranck Envoyé le 15/10/2021 1822 Plume de diamantInscrit le 8/7/2013De PandoreEnvois 62900 Re Ne nous quitte pasBonjour S_Ramstrom, émouvant appel poétique Amicalement -La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout 00063312-1 dolores Envoyé le 15/10/2021 2059 ModératriceInscrit le 24/8/2009De france 06 Alpes-MaritimesEnvois 29887 Re Ne nous quitte pasUne prière comme une bouteille à la mer le burn-out existe même chez les soignants et la détresse humaine est insupportable et fini par tout détruire merci pour ce cri puissant à méditer bonne soirée amitiés Une vieille Aide-soignante ... - Sphyria Envoyé le 16/10/2021 632 Plume de platineInscrit le 25/4/2021De FranceEnvois 9734 Re Ne nous quitte pasJ'ai été très touchée par ton poème de soutien à cet ami en souffrance ! Valou34 Envoyé le 16/10/2021 1046 Plume d'orInscrit le 11/12/2020De Envois 812 Re Ne nous quitte pasBonjour S_Ramstrom,un poème poignant, un cri du cœur pour nous dire toute la détresse du personnel soignant ! Courage à vous ! -Mes amitiés et mes bisous, Valou encrenoire Envoyé le 16/10/2021 1105 Plume de platineInscrit le 11/6/2013De NordEnvois 2831 Re Ne nous quitte pasLa lente déshumanisation que veulent certains a bien des effets négatifs et pervers. Chacun doit prendre le rebours de cette société sans amour, ici étend dit amour inconditionnel, le mot amour ayant tant de courage à vousencrenoire Sybilla Envoyé le 16/10/2021 1942 ModératriceInscrit le 27/5/2014De Envois 67790En ligne Re Ne nous quitte pasBonsoir Swan,C'est un superbe hommage poignant envers tous les soignants !Bon courage à et à vous tous! Douce soirée !Amitiés Sybilla -Le rêve est le poumon de ma vie. Citation de Sybilla Rosaly Envoyé le 17/10/2021 043 Plume d'orInscrit le 15/1/2015De Envois 1983 Re Ne nous quitte pasUne prière lancinante qui déchire le coeur ...Ce poème est puissant et douloureux il nous montre toute la force de l'amitié, la vraie, celle qui est là , dans les instants les plus tragiques de l' nous rappelle combien les personnels soignants , en première ligne durant la pandémie, ont été touchés , physiquement comme le courage et la ténacité dont ils on fait preuve, sacrifiant leur vie de famille et mettant en péril leur propre santé pour le bien de comprends leur détresse d'aujourd'hui, cet ami en est un exemple très touchant , même si j'ignore les raisons profondes de son mal être ,le contexte dans lequel il se trouve semble bien sombre!Une main tendue qu'il saisira j'espère .Courage à lui et merci à toi pour ce vibrant partage , bien ressenti et écrit. Amicalement,Rosaly berrichonne Envoyé le 17/10/2021 843 Plume de diamantInscrit le 17/6/2008De Envois 13718 Re Ne nous quitte pasQuand il n'y a plus d'espoir, quand on se trouve au fond du trou, seul une main secourable et aimante peut nous rendre l'envie de ! Un fait de société que nul ne peut ignorer. Coup de coeur pour amicales -La vie est belle il faut savoir l'apprécier. eolienne Envoyé le 17/10/2021 1547 WebmasterInscrit le 22/6/2005De Région ParisienneEnvois 36285 Re Ne nous quitte pasJ’ai le plaisir de t’annoncer que ton poème a été élu ''coup de cœur'' par l’équipe des MASCOTTES d’Oasis !Il sera mis sur la page d'accueil du site jusqu'au prochain ''coup de cœur''. Il sera également mis dans le recueil ''poèmes nominés'' pour y rester définitivement !Toutes nos félicitations - S_Ramstrom Envoyé le 20/10/2021 1755 Plume de soieInscrit le 17/9/2015De Envois 134 Re Ne nous quitte pasMerci beaucoup Éolienne, ça me touche énormément. Merci à tous ! Pour lui et pour souvenir est un poète, n'en fais pas un historien" not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light"
Onsait qui l'on quitte, on ne sait pas qui l'on prend. La vertu, immuable, ne quitte pas l'homme avec la mort, elle retourne au nourrisson. Il est vraiment rare qu'on se quitte bien, car si on était bien, on ne se quitterait pas. mon cheri ne me quitte pas.
Nos derniers poèmes Poème de Paolarosa Guerre qui es-tu ? GUERRE! Tu m'as rendu orpheline Tu m'as arraché mes parents Ceux que j'aimais Et maintenant je suis seule dans cette vie GUERRE ! Tu m'as rendu perclus Et maintenant Me voici dans une chaise roulante Me voici avec des béquilles Me voici handicap Me voici privé de beaucoup de choses GUERRE ! Qui es tu ? Pour faire beaucoup de mal Pour faire autant souffrir GUERRE ! Je te détestais Je te déteste Je te détesterais toujours. pauledompey Poème de Kiss80700 Le matin où je t'ai vu J'ai tout de suite su Que je te voulais Mais toi Tu avait un copain Un jour lui et toi s'est tu Alors j'ai voulu Tenter ma chance auprès de toi Mais tu me repousse Je ne sais que faire Je suis perdu Je ne veut que ton bonheur Et toi tu fais perdre le miens Pourtant il y a en moi Cet amour qui jamais ne cessera Je t'aime pour l'éternité. Poème de Dipsy Je sais que tu m'es inaccessible Que notre amour est impossible J'ai essayé d'avoir ton coeur Mais tu l'avais déjà mis ailleurs Tu le lui as donné Sans même me regarder Et moi je suis rester là le souffle coupé Et les morceaux de mon coeur éparpiller Mais arrête de me torturer Et dis-moi la vérité M'aimes-tu vraiment M'aimes-tu autant Je sais que je n'ai aucune chance Que j'y gagne que des souffrance Que je pers mon temps avec toi Et que tu ne céderas jamais pour moi Mais il y a du bon car au moins Je peux te regarder de loin Même si parfois Elle se trouve dans tes bras Poème de Coriandre Nostalgie Humer l'odeur de pâtisserie Flottant dans la cuisine Est un régal pour les narines ! Ce petit gâteau moelleux Au chocolat fondant, Encore tiède dedans, Ravive mes papilles gustatives Si souvent brimées Par trop de mets déshydratés. Où est passé le savoir faire d'autrefois où l'on travaillait la pâte avec les doigts ? Nul besoin de robot ménager Pour pétrir à pleines mains La boule de pâte au levain ! Et en un tournemain, La délicieuse pâtisserie prenait corps Lovée dans un moule aux somptueux décors ! Aujourd'hui, les main sont en reste C'est l'appareil qui fait le geste. coriandre91 Poème de Jessyka Adieu Dominique je te vois même si tu n`est plus la tu est partie si vite que j'en suis encore triste mes pensées sont encore fragile quand je pense a toi je suis encore fébrile tu resteras dans mon coeur même si toi tu est ailleurs protège moi de là-haut et aide moi a avancée encore plus haut avec tout l'amour que tu avait pour moi je te tiens les bras et je rêve toujours a toi je prendrez soin de moi jusqu'a se qu'on se revois la bas pour mon chum qui est décédée le 15 avril 2007 je t'aime fort doum je ne t'oublierai jamais jessykaminguy Poème de Lapetitesolene Souffrances La première fois que je t'es vu Tu m'a tapé dans l'œil Et c'est la que j'ai su Oublié mon orgueil. Je suis allée vers toi J'ai appris à te connaître Et quand tu m'as pris dans tes bras Je me suis senti renaître. Puis tu m'as embrassé Tu me disais que tu m'aimais J'ai compris que j'allais galérer Lorsque tu as commencé a m'oublier. Aujourd'hui je souffre Depuis qu'on est venu me voir Oh mon Dieu quel désespoir Je suis tombé au fond d'un gouffre. J'en est marre de souffrir Qu'ais-je fait pour mériter Tout ce que toi Sounir Tu m'as fais endurer ? Poème de Leucosia Rouge sont mes ailes Depuis que je me sens mortel Rouge sont mes yeux Depuis que je suis malheureux Noir sont mes pensées Depuis que tu as cesse de m'aimer Noir sont mes souvenirs Depuis que je ne souhaite que mourir Rouge est le sang que mes veines ont déversé Depuis que tu m'as quitte Rouge est ma colère Depuis que je suis sous terre Noir est mon cour Depuis que tu m'as dit de partir Noir est ma vie Depuis que tu n'es plus mon bonheur leucosia Poème de Armelle23 Encore une nuit blanche qui se froisse, Les yeux brûlés de fatigue et d'angoisse, Tout est si calme dehors, passent les heures, Ma tête ressasse chacun de mes doutes et mes peurs. A quoi tout cela sert, à rien, je le sais bien, Mais cette illusion à arrêter je ne parviens, Ruminations intellectuelles, tenter vainement De trouver une place dans ce monde débilitant. Prisonnière de la triste incohérence de mes pensées, Violent mutisme qui me fait perdre l'envie même d'exister, Il me faudra bien trouver le chemin du courage pour détruire Le miroir de mon inconscient, sans fuir, ou s'enfuir... Les bleus au coeur jamais vraiment ne disparaissent, Au mieux espérer qu'au fil des jours ils ne s'estompent, Mais devant tant d'incompréhension, que de tristesse, Désemparée, j'aimerai tant croire que c'est mon âme qui se trompe apiacenti Poème de Anouchka Sur le répondeur , j'écoute encore ta voix Douce et sécurisante ,pleine de tendresse Elle me rend triste et me rassure à la fois J' ai besoin de l'entendre sans cesse Et je rage , pourquoi tu ne décroches pas Je sais tu n'es plus là J'ai envie de te parler Qu'on se dispute qu'on se raccroche au nez Qu'on se rappelle et qu'on regrette Que l'on se dise que l'on s' aime Un an tu es partie Aujourd'hui je suis mère Tu n'as pas su que j'attendais mon fils Tu n'as pas su que tu allais être grand mère Je sais tu t'es battue comme un lion Jusqu'au dernier soupir Nous avons eu cette seconde chance de te dire Combien nous avions besoin de toi et comme nous t'aimions Mais trop courte était ce temps De là où tu es Je sais que tu es là Je sais que tu sais Je t'aime maman Poème de Tim T'es partie Devant l'amour comme devant la mort il ne sert a rien d'être fort Il m'a fallut une seconde pour t'aimer Il me faudra une éternité pour t'oublier T'es rentré dans mon coeur comme lorsqu'une étoile apparaît dans le ciel par magie Et en un rien de temps,t'as illuminé ma vie de milles joies Tu m'as appris à aimer,a croire que dans ce monde de fous le bonheur existe. Mais t'as oublié de m'apprendre a ne plus t'aimer Le malheur de t'avoir perdue n'effacera jamais le bonheur de t'avoir connue Quand mon coeur ne battra plus Il cessera de t'aimer, mais âme,elle continuera a t'aimer au-delà des cieux fatimsount2002 Poème de Youma Ainsi soit-il Ses regards, ses mots et ses gestes M'ont envoûté comme le chant d'une sirène. Dans l'éclat de ses yeux j'ai vu l'amour Qu'elle me chantait et le désir d'être mienne. Alors, comme chargé de leste, Sombrant sans même songer au retour, Je me laissais submerger par mes émotions. Je laissais mon cour lui parler D'une passion attisée par ses mots. Je me suis épris d'elle sans faire attention Oubliant qu'à cause de tout mes maux, Comme une terre sellée Depuis dix années, l'amour m'était interdit. Oui je l'aime et sans crainte je le lui ai dit. Certains ne comprennent pas ma romance. Je m'implique beaucoup trop à leur sens. Mais ici bas la vie est courte, Je veux en jouir coûte que coûte. J'avoue m'être attaché bien vite Pourtant, même si coule le sang de mon âme, Le regret ne me touche nullement. Il est trop tard pour que j'évite De souffrir de l'amour que j'ai pour cette femme, La source de mes joies et mes tourments. Même si elle a dit ces trois mots merveilleux, Bientôt elle s'envolera Sans que ses sentiments ne la retiennent. Au-delà de l'océan, à mil lieux, Loin de moi, elle s'en ira Sans que mon cour en larme ne la freine. chat-astrof Poème de Ehpssiiit Ne jamais oublier Jamais je n'oublierai cette soirée, cette première soirée sans toi dans la maison. Jamais je n'oublierai ce coup de téléphone Jamais je n'oublierai le désespoir qui se promenait dans toutes les pièces. Jamais je n'oublierai les larmes de mes parents et de ma soeur Jamais je n'oublierai ces cris de pleurs de ma grand-mère quand j'allais dormir chez elle. Jamais je n'oublierai ces souvenirs heureux que j'ai passé avec toi Jamais je n'oublierai ces moments passés seul dans ma chambre à penser à toi Jamais je n'oublierai les jours après ton départ vers les cieux, les jours tristes. Jamais je n'oublierai cette blessure dans mon coeur Jamais je ne t'oublierai. JAMAIS roadsign27 Poème de Youma Maux d'un cour en larme Tant de choses à dire que les mots me manques Pour exprimer le mal qui me heurt. Ma souffrance Me flagelle comme une volée que me flanque Une main acharnée à remplir son office Au sein de mon esprit mon âme et ma chair. J'ai pleuré, crié et même dis des prières Pour ne pas perdre ces choses qui me réjouissent. Mais, la destiné se moque de moi je pense. J'ai été embrasé par une flamme intense Qui m'a ravagée d'une si belle manière Que mon cour ne cesse de pleurer son absence... Le regret me bouleverse car, à mon sens, Ma douce Amour méritait plus que cette esquisse Que je lui ai offerte un soir de lune claire... Ces dernier mois on été pareil à l'enfer Pour mon cour assassiné par cette distance. Sa voix, son regard et sa chaleur me manque. Je la désir jusqu'au plus profond de ma chair. Depuis que mes lèvres ont goûté les délices De cet amour, la vie sans elle est un supplice... chat-astrof Poème de Forever Suicide à la falaise Seuls devant la falaise Mon corps s'imprègne d'un malaise Mon âme est entrain de partir Dans un long soupir Je tombe vers le fond Dans ce gouffre si profond Je vois la lumière Mais quelque chose m'attire en arrière Je sombre dans les profondeurs Etrangement je n'ai pas peur Ai je réussi à me suicider? C'est donc ici que je vais sombrer Pour l'éternité ... Poème de Youma À mes bourreaux Futiles sont les mots et veines les prières S'ils ne s'abouchent à une âme qui puisse ouïr Les maux de la chair qui sortie de la poussière Et fut chassé de l'éden qui pouvait réjouir. Il n'est point utile de feindre le délice Quand l'amertume persiste et peine à choir. Si la rancœur est, qu'elle se face voir Sans retenue quitte à leur percer les iris. Je croyais être à l'abri mais je fus frappé Par une main vicieuse, fourbe et maligne. Je ne pourrais nier que j'eusse été ébranlé Mais face aux bourreaux, je ne puis courber l'échine. En hommage à ce jour ou je me fis damner Sans explication, bientôt sans faire de mine, Je soulagerai ma douleur en aparté. chat-astrof Poème de Laura 16 Tu es parti Le ciel t'a emporté, Sans moi tu es parti, Dans un autre monde, Dont je ne sais rien Tu es tellement loin de moi, Mais toujours là, Gravé dans mon coeur, Tu le seras Tu m'accompagneras, Partout où il faudra, Que je surmonte, Tant d'épreuves sans toi Tu me manque tellement, Que je ne cesserai jamais, De penser à toi, Car tu es toujours en moi Ce poème est fait pour toi, Ca ne sont que des mots, Mais c'est ce que je ressens, En ce moment, Et tout le temps... Tu me manque énormément... laurathebest16 Poème de Nympetamine Tout à l'heure je regardais une glace, Je l'ai scruté, comme un amoureux, Tous ces petits coins, tel un jeu. Et là, le doute est là, il m'enlace. Je me regardai, sans reflet, C'était frais, Tellement d'effet, Ce sentiment grandissait. Et une goutte se mit à couler, Sa route, continuer, Moi pleurer, Toujours assis, à la fixer, Où suis-je, me vint cette question, Qui suis-je, il y a-t-il une réponse ? Et je suis là, sur une chaise basse, En train de lécher une glace tel un con ! victoria0696 Souffrirpour mourir !!??!!! Oasis des artistes: Poésie en ligne, Concours de poèmes en ligne - 6468 membres ! S'inscrire. S'inscrire; Navigation; Règles & usages; Accueil; Connexion. Pseudo : Mot de passe : Mot de passe perdu ? Inscrivez-vous ! NOTRE SITE ** A C C U E I L ** * REGLES & USAGES * Manifeste Livre d'or Rubriques Exprimez-vous ! Littérature Vos poèmes 22 poèmes <23456Phonétique Cliquez pour la liste complète cacahouète cacahouètes cacahuète cacahuètes cacaotée cacaotées cacaotés cacatoès cacatois cagote cagotes cagots cahota cahotai cahotais cahotait cahotas cahotât cahotâtes cahote cahotée cahotées cahotes cahotés cahots cahute cahutes caquâtes caqueta ... À M. Louis de Ronchaud I Regardez-les passer, ces couples éphémères ! Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment, Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, Font le même serment Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent Avec étonnement entendent prononcer, Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent Et qui vont se glacer. Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse D'un instant de bonheur ? Amants, autour de vous une voix inflexible Crie à tout ce qui naît Aime et meurs ici-bas ! » La mort est implacable et le ciel insensible ; Vous n'échapperez pas. Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, Forts de ce même amour dont vous vous enivrez Et perdus dans le sein de l'immense Nature, Aimez donc, et mourez ! II Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile Quand un charme invincible emporte le désir, Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile A frémi de plaisir. Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; Nous entendons sa voix et le bruit de son aile Jusque dans nos transports. Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie Pâlir au firmament les astres radieux, Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie, Leur lien pour les cieux. Dans le ravissement d'une éternelle étreinte Ils passent entraînés, ces couples amoureux, Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte Un regard autour d'eux. Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ; Leur espoir est leur joie et leur appui divin ; Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe Leur pied heurte en chemin. Toi-même, quand tes bois abritent leur délire, Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire S'ils mouraient tout entiers ? Sous le voile léger de la beauté mortelle Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, Le temps de l'entrevoir, de s'écrier C'est Elle ! » Et la perdre aussitôt, Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour. Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée Pour un être d'un jour ! Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles Ne puissent t'émouvoir, Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre Tu dises Garde-les, leurs cris sont superflus. Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ; Tu ne les rendras plus ! » Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s'aimer dans ton sein. III Éternité de l'homme, illusion ! chimère ! Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain ! Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés, Vous oubliez soudain la fange maternelle Et vos destins bornés. Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères En face du néant. Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. » La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles Luiront sur vos tombeaux. Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ; La fleur que vous brisez soupire avec ivresse Nous aussi nous aimons ! » Heureux, vous aspirez la grande âme invisible Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ; La Nature sourit, mais elle est insensible Que lui font vos bonheurs ? Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle, C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor. Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, Et vous laisse la mort. Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ; Le reste est confondu dans un suprême oubli. Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître Son voeu s'est accompli. Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines Vous jettent éperdus ; Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre L'Infini dans vos bras ; Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, Ces transports, c'est déjà l'Humanité future Qui s'agite en vos seins. Elle se dissoudra, cette argile légère Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ; Les vents vont disperser cette noble poussière Qui fut jadis un coeur. Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, Dans les âges lointains. Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. Chacun rapidement prend la torche immortelle Et la rend à son tour. Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, De la tenir toujours à votre main mourante Elle échappe déjà. Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; Il aura sillonné votre vie un moment ; En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme Votre éblouissement. Et quand il régnerait au fond du ciel paisible Un être sans pitié qui contemplât souffrir, Si son oeil éternel considère, impassible, Le naître et le mourir, Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même, Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu ! Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime, Et pardonnez à Dieu ! L’Amour et la Mort Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1845 votesQuand le vieux Gœthe un jour cria De la lumière ! » Contre l'obscurité luttant avec effort, Ah ! Lui du moins déjà sentait sur sa paupière Peser le voile de la mort. Nous, pour le proférer ce même cri terrible, Nous avons devancé les affres du trépas ; Notre œil perçoit encore, oui ! Mais, supplice horrible ! C'est notre esprit qui ne voit pas. Il tâtonne au hasard depuis des jours sans nombre, A chaque pas qu'il fait forcé de s'arrêter ; Et, bien loin de percer cet épais réseau d'ombre, Il peut à peine l'écarter. Parfois son désespoir confine à la démence. Il s'agite, il s'égare au sein de l'Inconnu, Tout prêt à se jeter, dans son angoisse immense, Sur le premier flambeau venu. La Foi lui tend le sien en lui disant J'éclaire ! Tu trouveras en moi la fin de tes tourments. » Mais lui, la repoussant du geste avec colère, A déjà répondu Tu mens ! » Ton prétendu flambeau n'a jamais sur la terre Apporté qu'un surcroît d'ombre et de cécité ; Mais réponds-nous d'abord est-ce avec ton mystère Que tu feras de la clarté ? » La Science à son tour s'avance et nous appelle. Ce ne sont entre nous que veilles et labeurs. Eh bien ! Tous nos efforts à sa torche immortelle N'ont arraché que les lueurs. Sans doute elle a rendu nos ombres moins funèbres ; Un peu de jour s'est fait où ses rayons portaient ; Mais son pouvoir ne va qu'à chasser des ténèbres Les fantômes qui les hantaient. Et l'homme est là, devant une obscurité vide, Sans guide désormais, et tout au désespoir De n'avoir pu forcer, en sa poursuite avide, L'Invisible à se laisser voir. Rien ne le guérira du mal qui le possède ; Dans son âme et son sang il est enraciné, Et le rêve divin de la lumière obsède A jamais cet aveugle-né. Qu'on ne lui parle pas de quitter sa torture. S'il en souffre, il en vit ; c'est là son élément ; Et vous n'obtiendrez pas de cette créature Qu'elle renonce à son tourment. De la lumière donc ! Bien que ce mot n'exprime Qu'un désir sans espoir qui va s'exaspérant. A force d'être en vain poussé, ce cri sublime Devient de plus en plus navrant. Et, quand il s'éteindra, le vieux Soleil lui-même Frissonnera d'horreur dans son obscurité, En l'entendant sortir, comme un adieu suprême, Des lèvres de l'HumanitéDe la Lumière ! Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 618 votes<23456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Poeme: Mourrir Pour Ne Pas Souffrir. Mourrir Pour Ne Pas Souffrir. Je voudrais être dans tes bras, Pour t’enlacer une dernière fois, Pour t’embrasser jusqu’à la fin. Donne moi ta main. Accompagne moi, Jusque là bas, Dans l’au-delà, Car ce sera le désarroi sans toi. Je voudrais mourir dans tes bras, Te dire je t’aime une dernière fois, T’embrasser autant de fois, Poèmes d'amour tristes Tu m'emmènes ...?? Emmène-moi............aux bras du ciel Éclaire mon chemin...laisse-moi aller.. Prends le temps de me rendre éternelle... Je finirai là où j'ai commencé... Guide-moi et d'un air solennel Donne-moi ta main... tu sauras me guider ... Chacun de tes mots d'amour, écoute les silences.... Ils sont au prise de leur intuition Ils se voudraient indifférence.... Mais ils accélèrent à l'inspiration Chacun de tes gestes est souffrance Mon moi est en révolution.... ... Emporte mon âme, elle est si rebelle Éclaire la route, du bout de l'allée... Illumine ma nuit du bout du ciel.... Ce voyage, du monde des fous à lier.. Ni demain,ni la semaine ancienne ou réelle Ne finira dans la réalité ... Poèmes d'amour tristes Pourras-tu me répondre ??? Que me dirais-tu mon ami , si demain, oui, j'arrivais ? Que me dirais-tu si jamais on se parlait pour de vrai Quelle serait notre réaction devant la trop vraie réalité ? Que serait ce premier geste pouvant nous amadouer ? ... Tu es loin, si loin ! Tellement trop loin, de mon pays Est-ce que tu écouterais de mon coeur tous les cris ? J'aimerais tant que nous prenions alors un bon café Que tu me donnes la main; que tu saches me guider... ... Ami, je me suis perdue dans la traitrise des liens Les gens sont tellement de vrais parfaits comédiens Il y a en moi, une blessure profonde en la confiance Est-ce que je peux encore oser prendre une chance ? ... Allons lentement, le visage au vent, yeux asséchés Voyons ce que la vie, ou le temps nous a préservé Il me semble te connaître sans mots je sais ta vie Toi tu sais déjà ces mots par lesquels on communie ... ... Veux-tu, dis-moi en toute sincérité, s'il te serait bon Que je commence à nous décrire le bâtir d'un pont Quand il serait terminé nous franchirions cet au-delà La distance effacée, nous cheminerions pas à pas ... ... À bientôt mon ami !!! Poèmes d'amour tristes Regarde en toi !!! . Et Dieu te parle de tes blessures . Tu sais, il y a des choses dans la vie Qui ne naissent que dans l'eau, les larmes et le sang . Ainsi naissent, une perle, un enfant, un couple, une famille .... ..... ... Verlaine n'a-t-il point crié " Ô mon Dieu , vous m'avez blessé d'amour. Et la blessure est encore vibrante . " Ô mon Dieu,vous m'avez blessé d'amour . Et la blessure est encore là qui tonne." ... . ... *****Et Dieu de te répondre . Regarde ta propre blessure elle est là en toi ! Accueille-la . Chéris-la . N'aies pas peur. Partage ta faiblesse, ainsi tu partageras ton amour, Ce qu'il y a de plus secret en toi, De plus mystérieux et aussi de plus beau . Ta blessure doit s'ouvrir Pour laisser place à la tendresse Comme les nuages se dissipent Pour laisser percer le soleil . La blessure, en effet, Creuse un lit, un creux, un espace intérieur Où peut circuler la vie, le bonheur, l'Esprit . . . . Ta blessure, se fera amour . . . Poèmes d'amour tristes DIS - MOI SERAS - TU LÀ ? .......... Dis-moi, dis est -ce que tu saurais me tendre la main ? Aide-moi, je t'en prie, j'ai perdu mes tendres repères J'ai prié ... et je pleure personne n'entend ma prière Viens m'aider, je crains qu'il y ait une fin à ce chemin. J'ai froid! J'ai tellement peur d'être déjà morte demain J'ai à traverser sans me noyer, cette trop large rivière Je t'en prie,il faudrait me dire tout ce que je dois faire S'il- te- plaît guide-moi ! Mon ami,éclaircit mon destin ... Comme une reine qui attend le chant, de son baladin Je cherche des yeux une lueur de ma joie qui espère Il me faut chasser au loin tous mes souvenirs amers Mais ma mémoire se joue de moi, et, revient sans fin Elle combat rires et joies par de monstrueux chagrins Dis-moi, est-ce que ma vie te trouvera. sans mystère ? Redis-moi tous ces mots, qui effaceront cette misère Souviens-toi je sera là aux premières lueurs du matin ... ... Je ne sais pas comment je me présenterai si soudain J'ai trop nagé, et que fatiguée je ne sais pas que faire ... Et puis, je me débâts, dans ces flots qui désespèrent Saurais-tu m'aider et m'éclairer, tous mes lendemains ? Écris-moi les mots que j'attends sur papier parchemin J'irai les lire, un doux soir, sous de beaux reverbères Bien entendu, je me croirai encore revenue en arrière ... Mais dis-moi en premier sauras-tu me tendre ta main? Poèmes d'amour tristes Oui, un nouveau jour se lève Un soleil neuf éclaire notre rêve. Lève toi de ce banc de solitaire Viens te réchauffer contre mon cœur. ...... Écoute ma voix déclamer les vers D'un poète dont le jardin en fleurs Attend depuis la nuit des temps Que tu viennes partager son printemps. ...... Fini de construire notre pont Je suis déjà debout sur le ponton Et vais de ce pas m'y engager Pour te rejoindre sur la rive opposée. ....... J'ai oublié mes peines, séché mes pleurs Je te rejoint enfin sans peur Mais écoute mon silence qui te conte Les secrets de notre entente. ..... Plus de larmes, de douleurs, plus de cris Nous sommes ensemble aujourd'hui Suivons le chemin qui mène à notre union Ce ne peut être autre que ce pont. ..... Il prend de plus en plus forme Chaque jour qui nous réunis Et peu à peu nous transforme En une seule et unique vie. Poèmes d'amour tristes Le pont...~~~ *** Je travaille toujours à bâtir notre pont ... Ces 2 mondes qui aujourd'hui nous séparent ... Un jour,après-demain, se réuniront .... J'arriverai un autre jour à cette gare.... Ainsi le veut, toutes les chansons .. Ainsi , le chante l'amour qui se prépare Je suis avec toi ... à l'unisson .... Regarde bien, regarde, je pars ... *** Si entre nous le chemin est grand ... C'est presque rien qui nous relie ... Nos deux mondes sont si différents ... Attends-moi ... j'ai bien compris ... Ce que nos yeux ne voient pas vraiment Mon coeur le sait ... mon coeur le sent d'ici Mais j'oublie si souvent, trop souvent .... N'oublie pas moi, je t'ai promis ..... *** Je tisse un pont invisible et long ... Pour aimer et venir vers toi ... Je suis sur la route, je fonce au front Je n'aime toujours que toi ... Parfois je fais quelques bonds ... Je cours, je cours vers toi .... Je te vois, tu es là dans mon horizon ... Accueille-moi ... contre toi ... garde-moi .... *** Au loin ... j'entends à peine .... Tous ces gens ... tous ces étrangers ... Un jour .... parmi nos centaines ... Nous arriverons ... pour nous rencontrer ... Ce sang circulant dans mes veines Ne veut venir que pour t'Aimer .... Un jour, une nuit, chose certaine ... J'arriverai .... je saurai t'aimer ..... ......... On dirait que je regarde un nouveau jour, se lever Je crains qu'il ne se lève pour rien, une autre fois En fait, j'ignore en mon être ce qui pourrait arriver Vraiment je me sens perdue dans un sous- bois ..... J'ai froid ! Je viens de trouver un banc de solitaire Je vais aller m'y reposer! Je n'entends pas ta voix .... Il est là à l'abri! Le pont pour y aller juste la pierre Le silence ! Même l'écho ne te ramène pas à moi ..... Es-tu à pleurer et sur ton coeur et sur tes peines ? Je me sens abandonnée !Trop seule aujourd'hui .. Conte-moi tout bas les secrets qui sont en scène Dis-moi tes larmes! Dis-moi tes douleurs,tes cris .. ..... Aide-moi à bâtir ce chemin menant à notre union Je ne veux pas me retrouver sur un sens unique ... Il te faut être là pour m'aider à bâtir tous ces ponts Toi et moi....nos vies pourraient être si magiques ..... Viens ! Ose-le ce pas ! Allons de l'avant tu veux? Je t'offre tout de moi ! Même mes désirs obscurs Fais un pas, un tout petit pas ! Tu seras heureux .. . Avance un peu ! Mon pont peut vaincre tes murs .... Ne pleure pas voici le vrai message des cieux ***** Ne pleure pas sur ce que tu as perdu, .......................................... lutte pour ce que tu as. Ne pleure pas sur celui qui est mort, ................................ lutte pour ce qui est né en toi. Ne pleure pas sur qui t’a abandonné, ...............................lutte pour celui qui est avec toi. Ne pleure pas sur celui qui te hait, .......................................lutte pour celui qui t’aime. Ne pleure pas sur ton passé, ............................................lutte pour ton présent. Ne pleure pas sur ta souffrance, ...........................................lutte pour ton bonheur. Ne pleure pas pour ce que demain sera ...............................lutte pour ta confiance et ta foi. Avec toutes les choses que nous vivons, ...........................................nous apprenons que .......... TOUT PROBLÈME A SA SOLUTION........... ..... Il te faut simplement aller de l’avant !!! »».. Gitane... dis-moi ma folie ...crie Gitane... comment va ma vie...?? Gitane... como mi vida es asi ... ? Que dois-je faire de cette vie ....? Chante pour moi, une rapsodie Invente toutes ces notes qui supplient Gitane... guide-moi dans ma folie Il est là ... je t'en supplie !!! Danse avec moi ,Gitane chérie Les tambourins... font tant de bruits... Je veux assouir mes envies ... Les violons transpercent ma nuit ... Gitane garde-moi.... tu es toujours ma Vie Berce-moi.... de tout mon ennui... Tue en moi, mes chants meurtris... J'ai trop mal de LUI ... Gitane, hurle-moi qui je suis Hurle-le lui .... moi, c'est fini Je ne parle plus je fuis ... Viens danser je veux l'oubli ....
Viennela voile qui t’emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t’en vas pleine d’espérance, Avec orgueil tu reviendras ; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve. Et t’enivrer d’un plaisir dangereux ; Sur ton chemin l’étoile qui se

Le deuxième témoin de la problématique du juste souffrant est un texte vraisemblablement de la période cassite et qu’on intitule diversement le Poème du Juste Souffrant ou Je veux louer le seigneur de sagesse ou même, chez les spécialistes, Ludlul bel nemeqi. Le texte est long près de 500 vers et on en a même retrouvé un commentaire à Ninive et peut-être des fragments complémentaires à toutes les tablettes retrouvées sont fragmentaires et qu’il n’existe pas de copie complète du texte, celui-ci est fort difficile à établir . Jacques Marchand a pris le parti de s’en tenir aux passages les plus sûrs de façon à éviter de prêter des intentions infondées à l’auteur. Cela paraît d’autant plus prudent que celui-ci pratique couramment une certaine inflation verbale parfois un peu confondante. Le texte est cité d’après l’édition de W. G. Lambert, Babylonian Wisdom Literature, p. 21-62, en m’aidant au besoin de la traduction de R. D. Biggs dans J. B. Pritchard, Ancient Near Eastern Texts, p. 596-600, et de la compilation française de J. Lévêque, Sagesses de Mésopotamie, p. 60-73. Je passe outre à l’introduction, une assez longue louange à Marduk n’ajoutant rien d’essentiel au texte, qui peut donc commencer au vers 43 de la première tablette. Toute cette tablette raconte dans un certain luxe de détails comment l’auteur a été abandonné, d’abord par les dieux, puis par le petit cercle de notables auquel il appartenait fièrement, et enfin par ses proches et sa famille. Il résume ainsi son sentiment profond, son déshonneur Moi qui me pavanais comme un noble, j’ai appris à passer inaperçu. De dignitaire que j’étais, me voilà devenu l’esclave. En dépit de mes nombreuses relations, je suis devenu un solitaire» I, 77-79. À cela s’ajoutent des calamités plus immédiates, telles la perte de ses biens et un malaise profond. Cette longue description prépare donc la lamentation qui suit et qui nous entraîne au cœur du problème. Dès le début de la deuxième tablette, l’auteur résume ainsi sa préoccupation centrale Où que je me tourne, c’est malheur sur malheur. Mon infortune ne fait que grandir et je ne peux obtenir justice. J’ai appelé mon dieu [le dieu personnel], mais il n’a pas montré son visage; j’ai prié ma déesse, mais elle n’a pas levé la tête» II, 2-5. Puis, après avoir reconnu l’inutilité de ses recours aux incantations, à la divination et à la magie, l’auteur entreprend d’élaborer la problématique qui va dominer tout le texte, celle du juste souffrant. Ce passage est évidemment crucial pour notre propos et j’en cite tous les extraits pertinents en écartant quelques redites et insistances superflues Comme un homme qui n’aurait pas apporté d’offrandes à son dieu ou qui n’aurait pas invoqué sa déesse à table, qui n’aurait pas incliné son visage et aurait ignoré les prosternations […], comme un homme qui serait devenu confus et aurait oublié son seigneur ou juré par son dieu à la légère en un serment solennel comme un tel homme je suis traité. Moi, pourtant, j’ai été fidèle à la supplication et à la prière; la prière était mon rempart et le sacrifice ma règle. […] Je croyais pourtant savoir que ces choses sont agréables au dieu! Mais ce qui semble correct pour soi-même peut être une offense pour le dieu, ce qui semble méprisable dans le cœur d’un homme peut sembler juste au dieu. Qui peut connaître la volonté des dieux dans le ciel? Qui peut comprendre les desseins des dieux du monde souterrain? Où les mortels ont-ils jamais appris la voie du dieu? Celui qui était vivant hier est mort aujourd’hui. Celui qui était abandonné à l’instant se retrouve soudain tout heureux. […] Dans la prospérité, ils songent à se hisser jusqu’aux cieux, dans l’adversité, ils redoutent la descente aux enfers. Je me suis inquiété de ces choses mais n’en saisis pas le sens» II, 12-48. L’argumentation de l’auteur se ramène à ceci je suis traité comme quelqu’un qui n’a pas honoré les dieux; or je les honore constamment; donc il y a un malentendu entre moi et les dieux et, par suite, je ne comprends pas bien ce qu’ils attendent de moi, ce qui de fait est le lot commun. Conclusion je ne comprends pas. Autrement dit il y a un problème grave, du moins qui entraîne des conséquences personnelles très graves, mais je ne détiens pas la réponse à ce problème car les attentes des dieux à mon endroit m’échappent et je n’ai aucun moyen de les connaître. Ainsi, l’auteur voit clairement sa situation les dieux l’abandonnent et il se retrouve dans l’infortune la plus totale, mais à aucun moment il ne se tourne contre les dieux pour se révolter contre leur traitement ou les accuser de quoi que ce soit; il reconnaît simplement que l’attitude religieuse habituelle ne donne pas les résultats attendus dans son cas, et cela l’amène à une seconde conclusion plus lourde mais tout à fait conséquente, à savoir que son attitude, bien que courante et même traditionnelle, ne correspond pas nécessairement aux exigences des dieux et qu’il n’a en fin de compte aucun moyen de s’assurer de ce que sont ces exigences. L’impasse est totale. Que faire? Quelle stratégie établir dans une situation où des vérités essentielles nous échappent? Suivons l’auteur pas à pas. Il semble bien acculé au fatalisme pur et simple et, de fait, il se contente, pendant toute la seconde moitié de la deuxième tablette, de reprendre le fil du récit de ses malheurs, rapportant à peu près tout ce qui lui arrive à des persécutions démoniaques et terminant sa longue tirade par un constat désespéré Mon mal dépasse les capacités de l’exorciste et les présages ont confondu le devin. L’exorciste n’a pu détecter la nature de mon malaise ni le devin pu fixer un terme à mon mal. Mon dieu n’est pas venu à mon secours en me prenant par la main et ma déesse ne m’a montré aucune pitié en marchant à mes côtés. La tombe est ouverte et le mobilier funéraire déjà prêt pour moi; avant même que je meure, ma lamentation s’achève. Tout le pays a dit de moi “Comme cet homme est brisé!”» II, 108-116. Jusqu’ici l’auteur n’ajoute rien à son argumentation, bien qu’il nous rende sa situation plus perceptible et ses malheurs plus présents. À mon sens, on franchit un pas décisif avec la troisième tablette. Dès le début, sans autre transition, il rapporte tout ce qui lui arrive à la colère de Marduk et avoue très clairement qu’il ne peut attendre de salut que de son dieu Sa main a pesé lourd sur moi, je ne peux la supporter. La terreur qu’il m’inspire est angoissante […]. Sa force […] porte une tornade [une inondation]. […] La maladie cruelle ne me quitte pas, […] égare mon esprit. Jour et nuit pareillement je gémis; dans les moments de veille et de sommeil, je me sens défait» III, 1-8. Mais, au moment où le juste semble toucher le fond du désespoir, une lueur apparaît par le biais de rêves prémonitoires; comme on le sait, ces rêves ont valeur divinatoire et sont envoyés par les dieux. Le premier est trop obscur pour être interprété et le second se réduit à une cérémonie de purification et d’incantation iii, 21-28. L’auteur qui semblait avoir renoncé aux pratiques magiques et exorcistiques reprend pied grâce à elles. On est ainsi prêt pour le troisième rêve qui, lui, me paraît parfaitement transparent d’abord, une sorte de déesse lui apporte des mots de consolation, puis, un prêtre vient pratiquer une cérémonie incantatoire devant le fidèle et conclut par ces mots Marduk m’a envoyé. À Subsi-mesre-sakkan [l’auteur], j’ai apporté la prospérité, des mains pures de Marduk, j’apporte la prospérité» III, 42-44. L’auteur ajoute aussitôt foi au message divin Ainsi Marduk m’a confié aux mains de ce ministre. Dès la levée du jour, il a envoyé son message et montré des présages favorables aux gens de mon entourage. Dans la maladie […]; ma maladie cessa brusquement et mes chaînes furent brisées» III, 45-49. Ces signes de délivrance opèrent comme par magie et le reste de la troisième tablette se passe à libérer progressivement le fidèle de tous les démons et de tous les maux qui l’affligeaient. On se retrouve donc dans des descriptions qui rappellent les rituels d’exorcisme et les prières qui les accompagnent. Il n’y a vraiment rien à chercher de ce côté pour nous. Quant à la quatrième tablette, qui est loin d’être établie de façon incontestable, elle peut se ramener à une action de grâces à Marduk qui n’ajoute rien non plus à l’argumentation de base de l’auteur. Il vaut sans doute mieux reporter tout commentaire général après l’examen de notre dernier texte. Il est toutefois évident que la réflexion du juste souffrant est demeurée dans des limites très restreintes et que cela devrait tout naturellement nous amener à nous demander ce qui rend si difficile, pour un juste souffrant de Mésopotamie, de concevoir une réflexion radicale sur la justice divine et le principe de rétribution. La Théodicée babylonienne. Ce texte, parfois intitulé le Dialogue acrostiche et plus souvent la Théodicée babylonienne, est notre troisième et dernier témoin de la problématique du juste souffrant. Il est habituellement daté un peu plus tardivement que les autres, quelque part entre -1000 et -750, mais il demeure indéniablement un des grands textes canoniques de la sagesse mésopotamienne, à l’égal de tous les autres. Il se composait originellement de 27 strophes de 11 vers chacune, mais il ne nous reste que les 8 premières et les 6 dernières strophes, ce qui nous condamne à une appréciation moins assurée de l’ensemble. Reste que le texte est sans surprise et assurément très homogène si l’on se fie à la rigueur de sa construction formelle et à la progression quasi systématique que laisse entrevoir son argumentation subsistante. Les éditions utilisées sont les mêmes que pour le texte précédent W. G. Lambert, R. D. Biggs dans J. B. Pritchard, et J. Lévêque — avec beaucoup de circonspection. Commençons par cerner le format général du texte. L’ensemble constitue un dialogue soutenu entre le juste souffrant et un de ses amis, chaque strophe représentant de façon alternée l’intervention de l’un des protagonistes. Tout au long du texte, les amis débattent de façon extrêmement attentive et respectueuse, ce qui donne une certaine impression de quête méthodique de la vérité et hausse ainsi le texte au plus haut niveau dans toute la littérature du genre. En outre, il est vite évident que le fait de proposer un dialogue entre deux amis permet à l’auteur, tout comme dans le Livre de Job, de proposer deux argumentations opposées et de les pousser au bout de leur logique d’un côté, il y a le juste souffrant, un prêtre incantateur affligé par toutes sortes de souffrances et de malheurs, qui est tenté par le pessimisme et même un certain scepticisme assez radical; de l’autre, son ami, un sage traditionnel, qui prétend se porter à la défense de la théologie» mésopotamienne établie que son compère met à mal. Mais comme on va le voir, le parallèle entre Job et notre serviteur souffrant ne s’arrête pas là, et les commentateurs s’entendent généralement pour déceler une filiation très nette entre le Dialogue acrostiche et le Livre de Job. Il vaut donc la peine de l’analyser de très près. À la première strophe, le juste souffrant commence par ancrer son plaidoyer dans sa situation personnelle. C’est un enfant tard venu qui par surcroît a perdu très vite ses parents et a dû vivre sans soutien ni protection. Il se confie donc à son très sage ami et en attend réconfort et conseil Où trouver le conseiller à qui confier ma souffrance? Je suis réduit à néant; l’angoisse m’a assailli» vers 6-8. À la deuxième strophe, le confident se contente de le ramener à la raison en lui enjoignant à ne pas s’appesantir sur ses malheurs vers 12-15 et en considérant que sa situation n’a rien d’exceptionnel ni de si défavorable vers 16-20. Naturellement, les strophes sont courtes et les arguments très condensés, parfois sans lien détectable entre eux; le genre utilisé contraint l’auteur à une approche parfois impressionniste. L’ami conclut ses remarques en faisant un saut important qui résume sans doute tout le débat à ses yeux Celui qui se tourne vers son dieu comme vers un ange protecteur, l’homme humble qui craint sa déesse atteindra la prospérité» vers 21-22. Bref, tout se ramène au principe de rétribution car les dieux peuvent tout pour leur fidèle. Mais l’affligé s’estime incompris et aspire à être entendu d’une autre oreille vers 25-26. La troisième strophe marque une surenchère importante dans la description de ses malheurs Mon corps est une ruine, la maigreur m’assombrit, mon succès s’est envolé, mon assurance est disparue. Ma force s’est affaiblie, ma prospérité n’est plus, mélancolie et plainte ont jeté un masque douloureux sur mon visage» vers 27-30. La plainte s’achève dans un constat amer Comment retrouver une vie heureuse? Je ne vois pas d’issue» vers 33. On peut sous-entendre ici que les dieux ne peuvent plus rien pour le juste souffrant mais, au stade actuel, ils ne sont même pas mentionnés; à mon sens, c’est ce silence même qui est significatif. À la quatrième strophe, le sage reprend à nouveau son ami et le semonce respectueusement; le texte est lacunaire mais le sens général apparaît tout de même assez clairement si tu es juste et pieux, ton dieu prendra pitié et t’accordera ce que tu souhaites. En fin de compte, les strophes 3 et 4 ne sont que la reprise amplifiée des strophes 1 et 2 alors que l’affligé semble ne plus rien attendre des dieux, son ami le reprend et lui signifie qu’il faut au contraire tout attendre d’eux. Les attitudes étant ainsi polarisées, il reste à en rendre compte. La véritable argumentation peut commencer. Le premier argument du juste souffrant, à la cinquième strophe, est déjà radical et de niveau très général le spectacle de la nature et de la société contredit cette croyance en la justice rétributive des dieux. La concision de l’auteur est admirable L’onagre, l’âne sauvage, qui se rassasie de […], a-t-il jamais prêté attention à celui qui rend les oracles infaillibles des dieux? Le lion féroce qui dévore toujours les meilleures parts de viande, a-t-il jamais apporté l’offrande de farine pour apaiser la colère de la déesse? […] Le nouveau riche qui a décuplé ses richesses, a-t-il jamais pesé de l’or précieux à la déesse Mami? [Ai-je] jamais refusé d’amener des offrandes? J’ai prié mon dieu et j’ai béni les sacrifices que j’apportais sans cesse à ma déesse» vers 48-55. L’ami essaie de réfuter cet argument par un contre-argument classique et de portée tout aussi générale on ne connaît pas les plans divins et on ne peut donc juger la manière dont les dieux rétribuent; mais le développement concret de cet argument fait problème, car on voit bien que le sage ne se situe pas sur le même plan que l’affligé du fait qu’il consent à ne pas comprendre ce qui se passe et à reporter les rétributions dans un avenir incertain. Le texte mérite d’être cité; il s’adresse d’abord au palmier, merveille de richesse et de résistance Tu es aussi stable que la terre, mais les plans des dieux sont lointains [inscrutables]. Regarde l’âne sauvage sur la steppe la flèche atteindra celui qui parcourt les champs. Considère, veux-tu, le lion que tu as mentionné, l’ennemi du bétail à cause du crime qu’il a commis, la fosse l’attend. Le nouveau riche qui empile les richesses, il sera brûlé au lieu désigné par le roi et finira prématurément. Désires-tu suivre le chemin que ceux-là ont suivi? Recherche plutôt la récompense durable de ton dieu» vers 58-66. La septième strophe complète l’argument avancé dans la cinquième et nous ramène au vrai problème du juste souffrant non seulement les méchants ne sont pas punis pour leurs crimes, mais même les bons sont châtiés en dépit de leur vertu. On arrive ici au cœur du problème Ceux qui négligent leur dieu connaissent la prospérité, tandis que ceux qui prient leur déesse sont appauvris et dépossédés. Dans ma jeunesse, j’ai cherché à suivre la volonté de mon dieu; dans la prière et les supplications j’ai recherché ma déesse. Mais j’ai porté comme un joug un service sans profit. Mon dieu a décrété pour moi le dénuement plutôt que la richesse. Un infirme me surclasse, un médiocre passe devant moi; la crapule obtient des promotions tandis que je suis abaissé» vers 70-77. Ainsi, pour la première fois, le principe de rétribution est contesté radicalement dans une argumentation condensée et complète. Les dieux sont sur la sellette. L’auteur ne dramatise pas, il ne se révolte pas, il ne se plaint même pas il analyse froidement la situation et se pose calmement en critique de l’absolutisme religieux. L’embarras du confident dans la huitième strophe me semble manifeste malgré les importantes lacunes du texte. Pour la première fois, il accuse son interlocuteur de méchanceté et de sacrilège et tombe dans l’argumentation ad hominem Mon ami juste et savant, tes pensées sont perverses. Tu es devenu injuste et tu blasphèmes contre les desseins divins. Dans ton esprit tu songes à rejeter les décrets des dieux» vers 78-80. Le reste de la strophe est très mutilé, mais on croit comprendre qu’alors que précédemment le traditionaliste avait joué sur l’inscrutabilité des plans divins, il les tient maintenant pour clairs et dominants. Les fragments les moins illisibles affirment Les plans divins […] comme au centre du monde. […] Saisir les intentions divines. […] Leurs raisons nous sont proches» vers 82-87. La discussion s’interrompt brutalement ici. Entre la neuvième et la vingt-deuxième strophe, il ne reste que des lambeaux de texte très difficiles à situer. Le peu qui reste donne de plus en plus l’impression d’un dialogue de sourds. À la douzième strophe, l’ami évoque les bienfaits d’une vie de piété, entre les mains d’un dieu, tandis que l’affligé rétorque, à la treizième, qu’il n’aspire plus qu’à une vie retirée et même errante Je vais quitter ma maison. […] Je renonce à toute propriété. […] Je vais délaisser le culte de mon dieu [le dieu personnel] et me libérer de tous ses rites. […] Je vais prendre la route et m’en aller errer au loin. […] Comme un voleur je vais rôder à travers le pays. J’irai de maison en maison et soulagerai ma faim; affamé, je chercherai partout et je courrai à travers les rues» vers 133-141. Ce qui s’achève sur ces simples mots Le bonheur est loin…» vers 143. Naturellement, une attitude aussi radicale et même désespérée est considérée comme déraisonnable par le traditionaliste strophe 14 et surtout 20, qui ne cède pas d’un pouce sur sa foi fondamentale en la rétribution divine. Lorsque la discussion suivie reprend à la vingt-deuxième strophe, l’ami semble en voie de nuancer sa position de départ. Il commence par affirmer que le méchant finit toujours par être puni mais semble plus circonspect en ce qui concerne la récompense du juste À moins de te conformer à la volonté de ton dieu, comment peux-tu atteindre le succès? Celui qui se soumet au joug de son dieu ne manque jamais de nourriture, même si elle n’est pas abondante. Recherche le souffle favorable de ton dieu et ce que tu as perdu sur un an te sera compensé en un instant» vers 239-242. Mais cette concession paraît bien mince et ne semble pas modifier le moins du monde le sombre cours des pensées du juste souffrant. Les déclarations de la strophe 23 semblent sans appel Je regarde partout autour de moi mais on nage dans le désordre et la confusion. Les dieux ne barrent même pas la route aux démons» vers 243-244. Et plus clairement encore Qu’ai-je gagné à me prosterner devant les dieux? Je dois encore m’humilier devant les gens de rien que je croise; les riches et opulents me traitent avec mépris, comme un homme de rien» vers 251-253. À la vingt-quatrième strophe, le traditionaliste revient avec insistance sur l’inscrutabilité des décrets divins et en tire une interprétation assez arbitraire qui le conforte dans sa position pourquoi, en effet, l’incompréhension des hommes donnerait-elle une plus-value aux rétributions divines, et comment, dès lors, peut-on prétendre juger dans une perspective humaine si elles seront justes ou non, avantageuses ou non? La strophe suivante est sans lien détectable avec la précédente. Le juste souffrant insiste cette fois sur un aspect négligé du débat peu importe que le riche et le puissant soient des gens de mérite ou soient même favorisés par les dieux, ce qui importe c’est leur statut et la considération qu’il leur confère. Le sens de l’argument est clair et montre bien que les choses de ce monde ne dépendent pas des dieux autant que le traditionaliste se plaît à le croire On fait grand cas des paroles d’un puissant qui est familier de la violence ou du meurtre, mais on rabaisse le faible qui n’est coupable de rien. On accrédite la position du méchant qui déteste la vérité, mais on écarte l’honnête homme qui se conforme à la volonté divine» vers 267-270. Devant cet argument somme toute bien connu et assez peu dérangeant pour un absolutiste convaincu, la réplique devrait être simple et sans équivoque même si nous ne saisissons pas toujours le cours du destin, il finit toujours par frapper les impies. Mais on a l’impression ici que l’auteur cherche une conclusion acceptable aux deux parties, devant un débat qui s’annonce sans issue. C’est peut-être ce qui explique le virage inattendu de la vingt-sixième strophe. On se rappelle qu’à la vingt-deuxième l’ami commençait à en rabattre sur la question de la rétribution positive, reconnaissant que les récompenses divines à l’endroit du juste ne sont pas toujours à la hauteur de sa vertu vers 239-240; or, cette fois, c’est sur la question de la rétribution négative qu’il en rabat, reconnaissant que les méchants ne subissent pas toujours le sort qu’on aimerait leur voir subir. À vrai dire, l’accord du traditionaliste face au juste souffrant est presque trop facile et sent un peu la connivence On se prononce solennellement en faveur d’un homme riche “C’est un roi, affirme-t-on, la richesse est de son côté!” Mais on maltraite un pauvre homme comme un voleur, on le calomnie et on complote pour le tuer, lui faisant subir tous les torts comme un criminel parce qu’il ne jouit d’aucune protection» vers 281-285. Mais il faut voir à quel prix une telle entente inespérée est acquise. Il suffit d’analyser la strophe pour se rendre compte que l’argument du traditionaliste repose sur une croyance bien ancrée chez les Mésopotamiens et que cette croyance est reprise par lui sans le moindre esprit critique [Les dieux] ont gratifié l’humanité d’un langage retors. Ils l’ont dotée pour toujours non de la vérité mais du mensonge» vers 279-280. À la suite de cette concession tout de même assez massive, peut-être le juste souffrant a-t-il enfin l’impression d’être compris et peut-être reprend-il quelque peu espoir. C’est ce qu’exprime en tout cas assez clairement la vingt-septième et dernière strophe Tu es bon, mon ami; supporte ma plainte. Aide-moi, vois ma détresse, reconnais mon accablement. Moi, bien que soumis, juste et suppliant, je n’ai reçu ni aide ni secours, à aucun moment» vers 287-290. Puis, à la fin Que le dieu qui m’a abandonné m’accorde son aide. Que la déesse qui m’a abandonné me prenne en pitié» vers 295-296. Il convient de bien montrer, pour terminer notre analyse, ce que cette conclusion a de surprenant et même de déconcertant. Il faut commencer par reconnaître que le juste souffrant, à la dernière strophe, ne donne pas explicitement son accord à son ami, mais qu’il se contente de trouver quelque motif de réconfort dans ses paroles et de reprendre quelque peu espoir face aux dieux qui l’ont délaissé. Faut-il comprendre qu’il se réjouit de l’entente commune sur la position qu’il a émise à la vingt-cinquième strophe et que l’ami corrobore à la suivante? Or cette position n’a rien de si réconfortant puisqu’elle revient à affirmer que la loi du plus fort l’emporte généralement et que les gens injustes et impies échappent au châtiment attendu dans la mesure où leur richesse et leur pouvoir les mettent à l’abri des lois et même de la rétribution divine. Ce qui achève de nous confondre, c’est l’argument que l’ami sert au juste souffrant pour fonder leur commun accord si les hommes sont méchants et retors, c’est que les dieux les ont ainsi faits. Au scepticisme du juste souffrant s’ajoute maintenant le fatalisme du traditionaliste. Mais dès lors, comment croire que des dieux qui ont permis et même mis en place la méchanceté humaine puissent ensuite la punir? À mon sens, le débat tourne ici à la confusion les dieux doivent assumer la double tâche de maintenir la justice et de créer des hommes en les destinant à être injustes. Ici, deux destins s’entrechoquent et les dieux sont menacés des pires incohérences par des humains qui ne savent plus comment rendre compte de leur condition de vie et de leur croyance religieuse. Ainsi, d’un côté, si le juste souffrant a persisté dans sa mise en question du principe de rétribution et dans son constat tragique de l’abandon des dieux en dépit de sa piété et de sa vertu, il reste qu’il ne trouve rien de mieux à faire, au bout du compte, que d’implorer l’aide divine qui semble bien représenter sa seule chance de salut; mais, de l’autre côté, celui qui avait cherché à maintenir le principe d’une justice rétributive des dieux contre vents et marées finit à son tour par mettre le doigt sur la difficulté la plus fondamentale de tout ce débat et par reconnaître bien malgré lui que l’être humain, tel qu’il a été créé par les dieux, n’a aucun droit à la justice divine mais doit au mieux se contenter de quêter la grâce qui le sauvera malgré sa nature de pécheur et son incompréhension des desseins divins. Évidemment, cette notion de grâce est à peine effleurée dans le texte et cela n’a rien pour nous surprendre, puisque nous savons que la relation fondamentale de l’homme mésopotamien à son dieu n’en est pas une de confiance aveugle ni d’amour inconditionnel. Mais j’estime tout de même que la logique de l’argumentation conduit bon gré mal gré dans cette direction en raison même de la problématique mise en place. Si l’homme est foncièrement un pécheur, par destination divine, et si les plans marqués par le destin ou par les dieux lui échappent sans recours, que lui reste-t-il sinon l’humble attente et la supplication? Car derrière ces deux admissions décisives, il s’en cache une troisième plus décisive encore et qui est à la racine de l’absolutisme religieux, à savoir que ce sont les dieux et les dieux seuls qui mènent le jeu et que, même s’il semble absurde de croire en leur sollicitude bienveillante, c’est la seule issue qui reste au croyant de par la construction même qu’il a mise en place. Si les dieux ont créé l’homme pécheur, pourquoi voudraient-ils le sauver? Par surcroît, si l’homme ne comprend rien à leur justice rétributive, pourquoi se condamnerait-il à une attente sans espoir? Et en dernière analyse, si le croyant est conscient de n’avoir aucune autre possibilité de salut et de bonheur que par l’aide gracieuse des dieux, pourquoi maintient-il une construction qu’il a lui-même mise en place et qui le condamne à l’impuissance du pécheur, à l’incompréhension du croyant et au pessimisme fataliste ou au scepticisme désespéré qui sont les deux seules positions théologiques» possibles selon le texte? Au bout de notre examen de l’Épopée de Gilgamesh*, nous avons été contraints de reconnaître que l’absolutisme héroïque constituait une possibilité bien réelle de l’expérience mésopotamienne même si ce choix nous est apparu comme inéluctablement voué à l’échec, par la construction même de la situation et la logique profonde de son développement; ce héros n’aboutissait pas à la gloire qu’il avait convoitée, sinon une gloire tragique, acquise au prix de la défaite et du malheur, et revendiquée au-delà de toute raison et par la seule volonté du héros d’être reconnu inconditionnellement et par-delà sa déchéance. Dans le cas du héros de l’absolutisme religieux, la construction est analogue et le dénouement tout à fait comparable. Le juste souffrant est ce sage qui conçoit le projet proprement héroïque de revendiquer sa vertu tout comme Gilgamesh revendique honneur et gloire et qui veut forcer les dieux à le reconnaître non pas gracieusement et arbitrairement mais bien pour son mérite inconditionnel. Tout se passe donc comme si la vertu devait porter sa récompense en elle-même et qu’il était possible de dépasser son statut de pécheur qui attend tout de la grâce divine, et d’humain qui ne comprend pas les plans divins sur son destin. Or, bien sûr, un tel projet est par principe voué à l’échec, puisque la vertu ne peut être récompensée que par les dieux dans le cadre de l’absolutisme religieux et que le jugement que le juste souffrant porte sur lui-même doit être entériné par les dieux pour avoir une valeur quelconque. À cet égard, le texte de la Théodicée babylonienne demeure d’une cohérence impeccable car, dans la dernière strophe, l’affligé persiste à clamer son innocence et sa vertu même s’il est forcé d’admettre qu’il attend une confirmation de tout cela de la part des dieux. Et tout comme il n’y a qu’un seul cas clair d’absolutisme héroïque Gilgamesh, il n’y a qu’un seul cas incontestable d’héroïsme dans l’absolutisme religieux le juste souffrant de la Théodicée babylonienne. Ces positions d’exception ne pourront être appréciées à leur juste valeur que dans le cadre de la vision du monde où elles ont pris naissance. Nous disposons maintenant de tous les éléments pour prendre une telle vue d’ensemble sur la sagesse ou le projet éthique mésopotamien, et c’est ce que je vais m’efforcer de faire en conclusion. Mais auparavant, je me propose, dans la courte section qui suit, de parachever mon enquête sur les sagesses du Proche-Orient asiatique et d’examiner de façon succincte ce que la civilisation syrienne en particulier est susceptible d’y apporter de nouveau. La conclusion pourra ensuite prendre valeur de bilan, puisqu’elle portera sur l’ensemble de la sagesse archaïque examinée dans ce livre et dans le livre précédent.

cest la première fois que je te quitte sans que tu sois là pour souffrir, et au lieu d'en recevoir au moins un allégement de peine, de ne plus au moins te faire souffrir, c'est mon abandon, celui que je désirais, citant l'amour taciturne et toujours menacé, qui tord l'éponge du ventre et me change en pleureur, comme si le voyage aggravé Car derrière notre sourire une douleur, Poèmes d'amour tristes pour dire mon cœur est déchiré, Tu t'amuse à me faire souffrir, poème d'amour triste pour dire, Je ne pense qu'à toi, Je ne vois que toi, Je n'aime que toi Tristesse d'amour Je ne te supporte plus tu m'emprisonne et tu me tue de l'intérieure tu me consume et à chaque fois j'en paire mes plumes Tu es sournoise tu t'empare de mon cœur tu fait souffrir mon âme quand tu est là je broie du noir De ton talent tu fait couler mes larmes Ah mes larmes entre vous deux c'est une grande histoire Vous êtes lier pour me faire mal Vous vous emparez de moi avec joie Pour vous faire partir c'est un dur et long combat Que je pers à chaque fois Quand sa commence à couler rien n'y personne ne peut vous arrêtez Tel un robinet casser sa rempli mes yeux et sa se déverse sur mes joues Tristesse je ne te veut plus Car en moi tu me tue Tu empêche mon cœur de vibrer Tu fait un nœud avec mon estomac Mais toi tu jubile Tu t'amuse à me faire souffrir Mais un jour j'espère je trouverais un moyen Une parade pour empêcher mes larmes de couler Un jour je gagnerais enfin j'ose espérer . - Poèmes d'amour tristes je suis seul l'ange de la mort est tout prêt je le sent il me frôle la à me tourné autour je le combat je me fait force mon heure est pas venue ... il doit se tromper c'est pas moi j'ai des ailes je suis ange mais pas pour aller chez lui juste pour m'envoler vers d'autres cieux pour veiller sur le monde voler sur les nuages pour me reposer je veux continuer ma quette aller vers les gents pour les rassurer je veux rester ange je veux pas finir comme lui à chercher des âmes perdu pour les emporter dans son monde noir est sans chaleur je suis ange est je le resterais à jamais - Poème d'amour J'aime être avec toi je suis prisonnière de mon caractère Parfois impulsive Parfois triste comme se soir Mon cœur à mal quand on se déchire Pour moi amour oui tu es ma priorité Quand tu me dit que je ne suis pas avec toi sa me fait mal car je ne vois que par toi J'aime être avec toi J'aime être avec mes amise Bien entendu que pour moi tu passe avant tout Mais doit je en délaisser mes amis e pour autant ? C'est dure car je suis triste mais je n'ai pas droit aux larmes toi seul c'est pourquoi Aimer c'est toujours compliqué Car nous ne sommes pas libre de notre cœur On subit ces émotions ont peut rien contrôlé Comme se soir il crie Il saigne il me fait mal De toi il ne veut pas se passer De toi il est complètement épris Et sa se sera pour bien des décennie ne m'abandonne pas Ne me quitte pas car mon petit cœur à sa jamais il y survivra - Poème d'amour triste Les gens de nos jours ne vois que ce qu'il veulent voire Ils ne voie que la fille que je suis en plein jour, Qui souris et qui est pleine d'amour. Ce qu'il ne savent pas c'est que je pleure seule dans le noir. Mon âme est déchirée, Comme une vulgaire feuille de papier. Lorsque enfin je voie une lueur d'espoir, Soudain tout devient noir. Mon cœur fut transpercer, Par une épée bien affiler. Cette meurtrière qui est La Vie, Ma anéantie sans le moindre répit. Pour certain la vie est facile, Alors que je tombe en ruine. La fille que j'étais n'est plus, Elle est partie lorsque la noirceur est apparue. Jamais je n'avais imaginé, Lorsque je n'étais qu'un nouveau née. Que la beauté de ce monde si pur, Deviendrait un fardeau si dur. Je me noie dans cette mer affamée, Je me relève pour respirer. Mais les autres plus fort, M'empêche de continuer vers le bord. Après toute ces années a essayer de m'envoler, J'ai réaliser que j'avais simplement les ailes brisées. Lorsque la vie te donne 5 raisons d'abandonner, Donne lui en 6 de continuer. Il faut ce battre contre ses démons intérieurs, De toute façon, ils sont seulement le fruit de notre peur. - Poème d'amour triste 5 Je sens mon cœur battre entre tes mains . Je sens ton regard croiser le mien . Je sens tes lèvres frôler ma bouche. Je sens que tu recules comme si tu avais peur qu'on te touche . J'entends ta voix comme un écho. J'entends le vent te souffler les mots. Je te vois partir et me tourner le dos . Tandis que je suis accro . Tu est mon overdose, Reste près de moi si tu l'oses. Ta voix résonne comme un écho; Et je sens ton âme contre ma peau. Comme si nous ne faisions plus qu'un . Comme mêlés et entre mêlés. Sur mon chemin je t'ai trouver . Et je te supplie de rester. Mais je sais qu'au fond tu ne resteras jamais !!!! - Rencontre Une rencontre pleine de magie Tel Un mirage sorti de nulle part Comme un rêve au milieu de la nuit Une rencontre tellement rare Un ange venant du paradis Tel un esprit possédant un pouvoir L’homme était surpris Un ange lui redonnant espoir Son souffle s'était ralenti Il ne pouvait plus rien voir Son cœur de vitesse s'était pris Son souffle prenait du retard Par sa beauté il en était épris Il craignait trop son départ Venant d'un rêve qui hantait son esprit Par sa beauté il aimait croire De bonheur son être s'était rempli Il venait à l’instant de s’apercevoir Son souhait était assouvi De bonheur son ciel allait pleuvoir - Dernier poème d'amour tristes Prison d'amour C'est ma peine a perpétuité J'ai été jugé Je suis condamné Jamais je ne serais aimé C'est ma destinée Je vais passé ma vie dans ces longs couloirs à airer A quoi me sers d'espérer Ma vie est déjà toute tracé Je ne pourrai pas la modifier Ma vie est faite pour que je vive derrière ces barreaux d'acier Mon cœur a appris à vivre dans ces quelques mètres carré Il voudrait tant exploser Mais ne sait plus comment faire, cela à trop duré Même quand on m'amène promener Je n'arrive pas à respirer La seule de toutes mes liberté C'est de chaque jours penser Qu'ils vont venir me chercher Pour aller, une dernière fois me coucher Et de là, derrière cette paroi vitré Une fois l'aiguille plantée Ce doux produit injecté Mes yeux vont ce fermer Enfin je serai libéré Parti dans ce ciel étoilé Pouvoir voler en toute liberté Sans aucune culpabilité Mon Cœur peut enfin s'exprimer Lui aussi est libéré Pour toute l’éternité Cela n'empêche qu'il restera gravé Gravé à jamais Et qu'il ne regrettera pas le passé Car il a eu le plaisir d'exister Jusqu'à succomber Car oui j'ai été jugé et condamné A un crime de la plus haute cruauté Oui, messieurs les jurés, Oui, je l'avoue " J'ai Aimé " mais derrière notre sourire une douleur .
COLOR=green][FONT=Courier]Je te déteste toi qui te prends pour LA star alors que tout le monde dit que tu ne vaut rien, toi qui te permet de juger ce que tu ne devrais pas juger, toi qui te permet Gazettelunaire > La Gazette Lunaire. Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce
Non, je ne veux plus souffrir... Ma colère est en moi, Le déclic d'une vie absurde, Non, je ne peux plus accepter, La méchanceté, l'hypocrisie, Je veux vivre en paix. Je crie de toute mes forces, Stop, je ne suis pas un punching-ball. Je veux être respectée, J'ai tout donné, Et j'en ramasse plein la face. Non, je ne veux plus souffrir... Supporter certaine personne avec le mal en elle Qui joue avec mes sentiments, Qui s'amuse à me manipuler, Qui sait se faire plaindre, Et toujours le même refrain, Tout retombe sur moi. La gentillesse, l'amour ne payent pas. Je ne veux plus jamais avoir à faire à elle, Ni passer pour une idiote, Ni être le rebuts, Ni prendre tout à la face,des reproches ; Non, je ne veux plus souffrir. Je ne veux plus entendre parler d'elle. Je ne veux plus l'aider, Je ne veux plus ramasser des coups moraux, physiques, Jamais plus, elle ne mettra les pieds chez moi, Jamais plus je ne connaîtrais la souffrance à cause d'elle, Jamais plus je subirais ces sarcasmes, Jamais plus j'ouvrirai mon cœur, Jamais plus je souhaite me trouver en sa présence. Non je ne veux plus souffrir... Jamais je pourrais pardonner le mal que j'ai subi, Jamais j'accepterais de me rabaisser, Jamais personne ne me l'imposera, Je la bannis de mon existence, Je la laisse dans son peu de dignité qu'elle a pour elle, Mais surtout qu'elle ne s'en prenne pas à d'autres, Je serai là pour la remettre en place, Quitte à devoir rendre justice moi-même ? Personne ne touchera à ce que j'ai de plus chère au monde. Non je ne veux plus souffrir... Surtout à cause d'une personne, Une personne sans respect, Une personne sans courage, Une personne sans amour, Une personne manipulatrice, Une personne fainéante, Une personne profiteuse, Non je ne veux plus souffrir... Tous les droits sont réservés © MODVAREIL. FRANCE - 2015
Jeveux m'enfuir pour ne plus souffrir, mais ce serait vivre sans ton sourire. - Citation S2B . Citations Citations du Littré Une citation de S2B. Je veux m'enfuir pour ne plus souffrir, mais ce serait vivre sans ton sourire. - S2B . Citation proposée le mercredi 24 décembre 2014 à 05:37:14 Citations similaires. Tu te vois prendre du poid et ça te fait peur. ne t'inquiète pas, le seul extrait C'est la première fois que je te quitte sans que tu sois là. Je n'entendrai plus ta voix cicatrisée depuis tant d'années, couvrant mal sa blessure d'il y a beaucoup plus d'années, la voix quand je téléphonais de loin et que pour toi c'était fini pour toujours pour quelques jours, qui disait l'injustice et l'abandon contre toute vraisemblance puisque peu de jours après le cours de l'autre injustice, la quotidienne, reprenait, ta voix sans raisons, et tu avais raison tant d'années à l'avance puis-qu'à la fin tu serais abandonnée, tu auras été abandonnée, tu le savais, ta voix asphyxiée par l'absence et l'insensée distance, et la normale, la raisonnable la nécessaire et l'insensée séparation, ton être asséché par la soudaine, évidente, foudroyante fatalité, le manque d'être, le défaut de ce qui avait été promis, le manque à être ensemble, le cruel défaut infligé, l'inflexion victi-maire, ton être infecté de preuves et à la place de l'unisson la réciproque, l'instantanée, la brutale blessure au téléphone, comme dans un assaut de bretteurs vulnérables, touchés, touchés en même temps par la pointe émoussée de l'autre pour la millième fois ô fureur des cœurs mûrs par l'amour ulcérés » c'est la première fois que je te quitte sans que tu sois là pour souffrir, et au lieu d'en recevoir au moins un allégement de peine, de ne plus au moins te faire souffrir, c'est mon abandon, celui que je désirais, citant l'amour taciturne et toujours menacé, qui tord l'éponge du ventre et me change en pleureur, comme si le voyage aggravé tant d'années par ces mauvaises conditions, cette contagion de torts réciproques, y avait trouvé son régime de mélancolie, sa tonalité d'échec inévitable, de quoi se nourrir et céder sans regrets à son interruption. Je me réveille sur la lagune équatoriale, bieji avant leur aube, comme d'habitude, et c'est pour l'anniversaire et son alarme, il y a un mois mourait ma femme, je ne peux dire tu mourais, d'un tu affolant, sans destinataire, et je dis bien mourait», non pas dépérissait ou lisait ou voyageait ou dormait ou riait, mais mourait», comme si c'était un verbe, comme s'il y avait un sujet à ce verbe parmi d'autres. Michel Deguy
Phonétique(Cliquez pour la liste complète): cacahouète cacahouètes cacahuète cacahuètes cacaotée cacaotées cacaotés cacatoès cacatois cagote cagotes cagots cahota cahotai cahotais cahotait cahotas cahotât cahotâtes cahote cahotée cahotées cahotes cahotés cahots cahute cahutes caquâtes caqueta caquetai caquetais caquetait caquetas caquetât caquetâtes
29 poèmes <13456Phonétique Cliquez pour la liste complète caca cacao cacaos cacaoté cacas cagot cahot cahoté caïd caïeu caïque caïques cake cakes caoua caouas caqua caquai caquais caquait caquas caquât caque caqué caquée caquées caques caqués caquet ... Au vieux roi de Thulé sa maîtresse Adèle Avait fait en mourant don d'une coupe d'or, Unique souvenir qu'elle lui laissait d'elle, Cher et dernier trésor. Dans ce vase, présent d'une main adorée, Le pauvre amant dès lors but à chaque festin. La liqueur en passant par la coupe sacrée Prenait un goût divin. Et quand il y portait une lèvre attendrie, Débordant de son coeur et voilant son regard, Une larme humectait la paupière flétrie Du noble et doux vieillard. Il donna tous ses biens, sentant sa fin prochaine, Hormis toi, gage aimé de ses amours éteints ; Mais il n'attendit point que la Mort inhumaine T'arrachât de ses mains. Comme pour emporter une dernière ivresse, Il te vida d'un trait, étouffant ses sanglots, Puis, de son bras tremblant surmontant la faiblesse, Te lança dans les flots. D'un regard déjà trouble il te vit sous les ondes T'enfoncer lentement pour ne plus remonter C'était tout le passé que dans les eaux profondes Il venait de jeter. Et son coeur, abîmé dans ses regrets suprêmes, Subit sans la sentir l'atteinte du trépas. En sa douleur ses yeux qui s'étaient clos d'eux-mêmes Ne se rouvrirent pas. Coupe des souvenirs, qu'une liqueur brûlante Sous notre lèvre avide emplissait jusqu'au bord, Qu'en nos derniers banquets d'une main défaillante Nous soulevons encor, Vase qui conservais la saveur immortelle De tout ce qui nous fit rêver, souffrir, aimer, L'oeil qui t'a vu plonger sous la vague éternelle N'a plus qu'à se coupe du roi de Thulé Poèmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poème Voter pour ce poème 173 votesDans tout l'enivrement d'un orgueil sans mesure, Ébloui des lueurs de ton esprit borné, Homme, tu m'as crié Repose-toi, Nature ! Ton œuvre est close je suis né ! » Quoi ! lorsqu'elle a l'espace et le temps devant elle, Quand la matière est là sous son doigt créateur, Elle s'arrêterait, l'ouvrière immortelle, Dans l'ivresse de son labeur? Et c'est toi qui serais mes limites dernières ? L'atome humain pourrait entraver mon essor ? C'est à cet abrégé de toutes les misères Qu'aurait tendu mon long effort ? Non, tu n'es pas mon but, non, tu n'es pas ma borne A te franchir déjà je songe en te créant ; Je ne viens pas du fond de l'éternité morne. Pour n'aboutir qu'à ton néant. Ne me vois-tu donc pas, sans fatigue et sans trêve, Remplir l'immensité des œuvres de mes mains ? Vers un terme inconnu, mon espoir et mon rêve, M'élancer par mille chemins, Appelant, tour à tour patiente ou pressée, Et jusqu'en mes écarts poursuivant mon dessein, A la forme, à la vie et même à la pensée La matière éparse en mon sein ? J'aspire ! C'est mon cri, fatal, irrésistible. Pour créer l'univers je n'eus qu'à le jeter ; L'atome s'en émut dans sa sphère invisible, L'astre se mit à graviter. L'éternel mouvement n'est que l'élan des choses Vers l'idéal sacré qu'entrevoit mon désir ; Dans le cours ascendant de mes métamorphoses Je le poursuis sans le saisir ; Je le demande aux cieux, à l'onde, à l'air fluide, Aux éléments confus, aux soleils éclatants ; S'il m'échappe ou résiste à mon étreinte avide, Je le prendrai des mains du Temps. Quand j'entasse à la fois naissances, funérailles, Quand je crée ou détruis avec acharnement, Que fais-je donc, sinon préparer mes entrailles Pour ce suprême enfantement ? Point d'arrêt à mes pas, point de trêve à ma tâche ! Toujours recommencer et toujours repartir. Mais je n'engendre pas sans fin et sans relâche Pour le plaisir d'anéantir. J'ai déjà trop longtemps fait œuvre de marâtre, J'ai trop enseveli, j'ai trop exterminé, Moi qui ne suis au fond que la mère idolâtre D'un seul enfant qui n'est pas né. Quand donc pourrai-je enfin, émue et palpitante, Après tant de travaux et tant d'essais ingrats, A ce fils de mes vœux et de ma longue attente Ouvrir éperdument les bras ? De toute éternité, certitude sublime ! Il est conçu ; mes flancs l'ont senti s'agiter. L'amour qui couve en moi, l'amour que je comprime N'attend que Lui pour éclater. Qu'il apparaisse au jour, et, nourrice en délire, Je laisse dans mon sein ses regards pénétrer. - Mais un voile te cache. - Eh bien ! je le déchire Me découvrir c'est me livrer. Surprise dans ses jeux, la Force est asservie. Il met les Lois au joug. A sa voix, à son gré, Découvertes enfin, les sources de la Vie Vont épancher leur flot sacré. Dans son élan superbe Il t'échappe, ô Matière ! Fatalité, sa main rompt tes anneaux d'airain ! Et je verrai planer dans sa propre lumière Un être libre et souverain. Où serez-vous alors, vous qui venez de naître, Ou qui naîtrez encore, ô multitude, essaim, Qui, saisis tout à coup du vertige de l'être, Sortiez en foule de mon sein ? Dans la mort, dans l'oubli. Sous leurs vagues obscures Les âges vous auront confondus et roulés, Ayant fait un berceau pour les races futures De vos limons accumulés. Toi-même qui te crois la couronne et le faîte Du monument divin qui n'est point achevé, Homme, qui n'es au fond que l'ébauche imparfaite Du chef-d'œuvre que j'ai rêvé, A ton tour, à ton heure, if faut que tu périsses. Ah ! ton orgueil a beau s'indigner et souffrir, Tu ne seras jamais dans mes mains créatrices Que de l'argile à Nature à l’Homme Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 939 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
poème ne me quitte pas, bonny jean baptiste. poésie française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyenâge au début du xxème ta dernière lettre m'a laissé bien triste, de ces sentiments émergents à fleur de peau mais
Souffrir, Mourir, SourireJe ne vais pas bienJ’ai envie de me faire malJ’ai envie d’aller bienEst-ce vraiment un mal ?Je n’ai plus envie de souffrirMais pour cela je pense mourirMourir pour ne plus souffrirSouffrir de vous voir sourireVous qui souriezA longueur de journéeVoyez-vous a quel point j’ai malMal de ne pas etre normalNormal de ne vouloir que mourirPour enfin être libre, ne plus souffrirSouffrir d’être toujours rabaisséeSouffrir de ne pouvoir remonterRemonter cette pente raideQui chaque jour me rend plus laideLaide de n’avoir jamais appris à sourireSourire, pour vous c’est si facileFacile de ne pas paraître tant fragileFragile, moi je le suis trop je le saisJ’ai mal depuis que tu m’as quittéQuitté pour dieu sait quelle raisonMais dieu existe-t-il vraiment ?La bible a-t-elle tout à fait raison ?Ais-je le droit de souffrir autant ?Autant de ne plus t’avoir auprès de moiMoi qui avait vraiment besoin de toiMoi qui ne vivait qu’à travers toiMais depuis que tu es parti sans moiPlus rien ne vas, j’ai mal, je pleureEt petit à petit, je sais que je meursTout le monde me promet le bonheurMais pour moi, tout ça n’est qu’un leurreJ’ai besoin de ta présence à mes côtésToi qui disais tant m’aimer tu m’as quittéTu es mort un soir de pluieDepuis, jamais plus je n’ai sourisToi qui me manque tellementTu étais mon esperanceL’esperance d’aller mieux, vraimentMais aujourd’hui je n’ai plus aucune chanceTu m’as quitté pour la voix des angesParti ou personne ne te dérangeEst-ce que tu penses encore à moi ?Est-ce que tu rêves encore de moi ?Tu es toujours là, tu me hantes à jamaisJ’aimerais tellement envie de venir vers toiMais je n’aurais jamais, au grand jamaisLe courage de faire un geste comme çaMais je me fais mal, je sais que je ne devrais pasMais c’est plus fort que moi, je n’y arrive pasJe n’arrive pas à m’arrêter mon sang couleJe sens la souffrance me traverser le brasEt je sens le chemin de mon sang qui couleJe mets une bande pour que ça s’arrêteJe me sens vraiment très bêteMais je ne sais plus me contrôlerMais je ne sais plus m’arrêterJ’ai tellement de peine à vivre sans toiPourquoi es-tu parti sans moi ?J’ai besoin d’aide, je le saisIl faut que j’appelle quelqu’unJe ne veux plus souffrir maisJe ne trouve personne, pas unJe vous en supplie aidez-moiJe crie mais personne ne me répondMon amour, mon cœur, j’ai besoin de toiJe crie mais de ma gorge ne sors aucun sonJe n’ai plus envie de vivre, je veux mourirMourir pour ne plus jamais souffrirSouffrir de ne pas t’avoir à mes côtésToi qui disais tant m’aimer toi qui m’as quittéEssayer de sourire me fait souffrirSouffrir ne me donne pas envie de sourireQue faire pour revivre, moi qui aimait la vie ?J’aimais la vie seulement quand tu en faisais partiMaintenant je suis comme dans un long couloirEt dans ce couloir je ne vois rien, il fait noirJe n’en vois pas le bout, je ne vois plus rienSeulement mon désespoir et mon chagrinJe ne veux plus souffrir, je veux juste mourirMourir pour réapprendre à sourire…Syllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Souffrir, Mourir, Sourireje=ne=vais=pas=bien 5jai=en=vie=de=me=fai=re=mal 8jai=en=vie=dal=ler=bien 6est=ce=vrai=ment=un=mal 6je=nai=plus=en=vie=de=souf=frir 8mais=pour=ce=la=je=pen=se=mou=rir 9mou=rir=pour=ne=plus=souf=frir 7souf=frir=de=vous=voir=sou=ri=re 8vous=qui=sou=riez 4a=lon=gueur=de=jour=née 6voyez=vous=a=quel=point=jai=mal 7mal=de=ne=pas=e=tre=nor=mal 8nor=mal=de=ne=vou=loir=que=mou=rir 9pour=en=fin=ê=tre=li=bre=ne=plus=souf=frir 11souf=frir=dê=tre=tou=jours=ra=bais=sée 9souf=frir=de=ne=pou=voir=re=mon=ter 9re=mon=ter=cet=te=pen=te=rai=de 9qui=cha=que=jour=me=rend=plus=lai=de 9lai=de=de=na=voir=ja=mais=ap=pris=à=sou=rire 12sou=ri=re=pour=vous=cest=si=fa=ci=le 10fa=ci=le=de=ne=pas=pa=raî=tre=tant=fra=gile 12fra=gi=le=moi=je=le=suis=trop=je=le=sais 11jai=mal=de=puis=que=tu=mas=quit=té 9quit=té=pour=dieu=sait=quel=le=rai=son 9mais=dieu=exis=te=til=vrai=ment 7la=bi=ble=a=tel=le=tout=à=fait=rai=son 11ais=je=le=droit=de=souf=frir=au=tant 9au=tant=de=ne=plus=ta=voir=au=près=de=moi 11moi=qui=a=vait=vrai=ment=be=soin=de=toi 10moi=qui=ne=vi=vait=quà=tra=vers=toi 9mais=de=puis=que=tu=es=par=ti=sans=moi 10plus=rien=ne=vas=jai=mal=je=pleu=re 9et=pe=tit=à=pe=tit=je=sais=que=je=meurs 11tout=le=mon=de=me=pro=met=le=bon=heur 10mais=pour=moi=tout=ça=nest=quun=leu=rre 9jai=be=soin=de=ta=pré=sen=ce=à=mes=cô=tés 12toi=qui=di=sais=tant=mai=mer=tu=mas=quit=té 11tu=es=mort=un=soir=de=pluie 7de=puis=ja=mais=plus=je=nai=sou=ris 9toi=qui=me=man=que=tel=le=ment 8tu=é=tais=mon=es=pe=ran=ce 8les=pe=ran=ce=dal=ler=mieux=vrai=ment 9mais=au=jourd=hui=je=nai=plus=au=cu=ne=chan=ce 12tu=mas=quit=té=pour=la=voix=des=an=ges 10par=ti=ou=per=son=ne=ne=te=dé=ran=ge 11est=ce=que=tu=pen=ses=en=co=re=à=moi 11est=ce=que=tu=rê=ves=en=co=re=de=moi 11tu=es=tou=jours=là=tu=me=han=tes=à=ja=mais 12jaime=rais=tel=le=ment=en=vie=de=ve=nir=vers=toi 12mais=je=nau=rais=ja=mais=au=grand=ja=mais 10le=cou=ra=ge=de=faire=un=ges=te=com=me=ça 12mais=je=me=fais=mal=je=sais=que=je=ne=de=vrais=pas 13mais=cest=plus=fort=que=moi=je=ny=ar=ri=ve=pas 12je=nar=ri=ve=pas=à=mar=rê=ter=mon=sang=coule 12je=sens=la=souf=fran=ce=me=tra=ver=ser=le=bras 12et=je=sens=le=che=min=de=mon=sang=qui=cou=le 12je=mets=u=ne=ban=de=pour=que=ça=sar=rê=te 12je=me=sens=vrai=ment=très=bê=te 8mais=je=ne=sais=plus=me=con=trô=ler 9mais=je=ne=sais=plus=mar=rê=ter 8jai=tel=le=ment=de=pei=ne=à=vi=vre=sans=toi 12pour=quoi=es=tu=par=ti=sans=moi 8jai=be=soin=dai=de=je=le=sais 8il=faut=que=jap=pel=le=quel=quun 8je=ne=veux=plus=souf=frir=mais 7je=ne=trou=ve=per=son=ne=pas=un 9je=vous=en=sup=plie=ai=dez=moi 8je=crie=mais=per=son=ne=ne=me=ré=pond 10mon=a=mour=mon=cœur=jai=be=soin=de=toi 10je=crie=mais=de=ma=gor=ge=ne=sors=au=cun=son 12je=nai=plus=en=vie=de=vi=vre=je=veux=mou=rir 12mou=rir=pour=ne=plus=ja=mais=souf=frir 9souf=frir=de=ne=pas=ta=voir=à=mes=cô=tés 11toi=qui=di=sais=tant=mai=mer=toi=qui=mas=quit=té 12es=say=er=de=sou=ri=re=me=fait=souf=frir 11souf=frir=ne=me=don=ne=pas=en=vie=de=sou=rire 12que=faire=pour=re=vi=vre=moi=qui=ai=mait=la=vie 12jai=mais=la=vie=seule=ment=quand=tu=en=fai=sais=par=ti 13main=te=nant=je=suis=com=me=dans=un=long=cou=loir 12et=dans=ce=cou=loir=je=ne=vois=rien=il=fait=noir 12je=nen=vois=pas=le=bout=je=ne=vois=plus=rien 11seu=le=ment=mon=dé=ses=poir=et=mon=cha=grin 11je=ne=veux=plus=souf=frir=je=veux=jus=te=mou=rir 12mou=rir=pour=ré=ap=pren=dre=à=sou=ri=re 11Phonétique Souffrir, Mourir, Sourireʒə nə vε pa bjɛ̃ʒε ɑ̃vi də mə fεʁə malʒε ɑ̃vi dale bjɛ̃ε sə vʁεmɑ̃ œ̃ mal ?ʒə nε plysz- ɑ̃vi də sufʁiʁmε puʁ səla ʒə pɑ̃sə muʁiʁmuʁiʁ puʁ nə plys sufʁiʁsufʁiʁ də vu vwaʁ suʁiʁəvu ki suʁjea lɔ̃ɡœʁ də ʒuʁnevwaje vuz- a kεl pwɛ̃ ʒε malmal də nə pa εtʁə nɔʁmalnɔʁmal də nə vulwaʁ kə muʁiʁpuʁ ɑ̃fɛ̃ εtʁə libʁə, nə plys sufʁiʁsufʁiʁ dεtʁə tuʒuʁ ʁabεsesufʁiʁ də nə puvwaʁ ʁəmɔ̃teʁəmɔ̃te sεtə pɑ̃tə ʁεdəki ʃakə ʒuʁ mə ʁɑ̃ plys lεdəlεdə də navwaʁ ʒamεz- apʁiz- a suʁiʁəsuʁiʁə, puʁ vu sε si fasiləfasilə də nə pa paʁεtʁə tɑ̃ fʁaʒiləfʁaʒilə, mwa ʒə lə sɥi tʁo ʒə lə sεʒε mal dəpɥi kə ty ma kitekite puʁ djø sε kεllə ʁεzɔ̃mε djø εɡzistə til vʁεmɑ̃ ?la biblə a tεllə tut- a fε ʁεzɔ̃ ?εs ʒə lə dʁwa də sufʁiʁ otɑ̃ ?otɑ̃ də nə plys tavwaʁ opʁε də mwamwa ki avε vʁεmɑ̃ bəzwɛ̃ də twamwa ki nə vivε ka tʁavεʁ twamε dəpɥi kə ty ε paʁti sɑ̃ mwaplys ʁjɛ̃ nə va, ʒε mal, ʒə plœʁəe pəti a pəti, ʒə sε kə ʒə mœʁtu lə mɔ̃də mə pʁɔmε lə bɔnœʁmε puʁ mwa, tu sa nε kœ̃ ləʁəʒε bəzwɛ̃ də ta pʁezɑ̃sə a mε kotetwa ki dizε tɑ̃ mεme ty ma kitety ε mɔʁ œ̃ swaʁ də plɥidəpɥi, ʒamε plys ʒə nε suʁitwa ki mə mɑ̃kə tεllmɑ̃ty etε mɔ̃n- εspəʁɑ̃səlεspəʁɑ̃sə dale mjø, vʁεmɑ̃mεz- oʒuʁdɥi ʒə nε plysz- okynə ʃɑ̃səty ma kite puʁ la vwa dεz- ɑ̃ʒəpaʁti u pεʁsɔnə nə tə deʁɑ̃ʒəε sə kə ty pɑ̃səz- ɑ̃kɔʁə a mwa ?ε sə kə ty ʁεvəz- ɑ̃kɔʁə də mwa ?ty ε tuʒuʁ la, ty mə-ɑ̃təz- a ʒamεʒεməʁε tεllmɑ̃ ɑ̃vi də vəniʁ vεʁ twamε ʒə noʁε ʒamε, o ɡʁɑ̃ ʒamεlə kuʁaʒə də fεʁə œ̃ ʒεstə kɔmə samε ʒə mə fε mal, ʒə sε kə ʒə nə dəvʁε pamε sε plys fɔʁ kə mwa, ʒə ni aʁivə paʒə naʁivə pa a maʁεte mɔ̃ sɑ̃ kuləʒə sɑ̃s la sufʁɑ̃sə mə tʁavεʁse lə bʁae ʒə sɑ̃s lə ʃəmɛ̃ də mɔ̃ sɑ̃ ki kuləʒə mεtz- ynə bɑ̃də puʁ kə sa saʁεtəʒə mə sɑ̃s vʁεmɑ̃ tʁε bεtəmε ʒə nə sε plys mə kɔ̃tʁolemε ʒə nə sε plys maʁεteʒε tεllmɑ̃ də pεnə a vivʁə sɑ̃ twapuʁkwa ε ty paʁti sɑ̃ mwa ?ʒε bəzwɛ̃ dεdə, ʒə lə sεil fo kə ʒapεllə kεlkœ̃ʒə nə vø plys sufʁiʁ mεʒə nə tʁuvə pεʁsɔnə, pa œ̃ʒə vuz- ɑ̃ sypli εde mwaʒə kʁi mε pεʁsɔnə nə mə ʁepɔ̃mɔ̃n- amuʁ, mɔ̃ kœʁ, ʒε bəzwɛ̃ də twaʒə kʁi mε də ma ɡɔʁʒə nə sɔʁz- okœ̃ sɔ̃ʒə nε plysz- ɑ̃vi də vivʁə, ʒə vø muʁiʁmuʁiʁ puʁ nə plys ʒamε sufʁiʁsufʁiʁ də nə pa tavwaʁ a mε kotetwa ki dizε tɑ̃ mεme twa ki ma kiteesεje də suʁiʁə mə fε sufʁiʁsufʁiʁ nə mə dɔnə pa ɑ̃vi də suʁiʁəkə fεʁə puʁ ʁəvivʁə, mwa ki εmε la vi ?ʒεmε la vi sələmɑ̃ kɑ̃ ty ɑ̃ fəzε paʁtimɛ̃tənɑ̃ ʒə sɥi kɔmə dɑ̃z- œ̃ lɔ̃ kulwaʁe dɑ̃ sə kulwaʁ ʒə nə vwa ʁjɛ̃, il fε nwaʁʒə nɑ̃ vwa pa lə bu, ʒə nə vwa plys ʁjɛ̃sələmɑ̃ mɔ̃ dezεspwaʁ e mɔ̃ ʃaɡʁɛ̃ʒə nə vø plys sufʁiʁ, ʒə vø ʒystə muʁiʁmuʁiʁ puʁ ʁeapʁɑ̃dʁə a suʁiʁə…Syllabes Phonétique Souffrir, Mourir, Sourireʒə=nə=vε=pa=bj=ɛ̃ 6ʒε=ɑ̃=vi=də=mə=fε=ʁə=mal 8ʒε=ɑ̃=vi=da=le=bj=ɛ̃ 7ε=sə=vʁε=mɑ̃=œ̃=mal 6ʒə=nε=plys=zɑ̃=vi=də=su=fʁiʁ 8mε=puʁ=sə=laʒə=pɑ̃=sə=mu=ʁiʁ 8mu=ʁiʁ=puʁ=nə=plys=su=fʁiʁ 7su=fʁiʁ=də=vu=vwaʁ=su=ʁi=ʁə 8vu=ki=su=ʁj=e 5a=lɔ̃=ɡœ=ʁə=də=ʒuʁ=ne 7vwa=je=vu=za=kεl=pwɛ̃=ʒε=mal 8mal=də=nə=pa=ε=tʁə=nɔʁ=mal 8nɔʁ=mal=də=nə=vu=lwaʁkə=mu=ʁiʁ 8puʁ=ɑ̃=fɛ̃εtʁə=li=bʁə=nə=plys=su=fʁiʁ 9su=fʁiʁ=dε=tʁə=tu=ʒuʁ=ʁa=bεse 8su=fʁiʁ=də=nə=pu=vwaʁʁə=mɔ̃=te 8ʁə=mɔ̃=te=sε=tə=pɑ̃=tə=ʁεdə 8ki=ʃa=kə=ʒuʁ=mə=ʁɑ̃=plys=lεdə 8lεdə=də=na=vwaʁ=ʒa=mε=za=pʁi=za=suʁiʁə 10su=ʁiʁə=puʁ=vu=sε=si=fa=silə 8fa=silə=də=nə=pa=pa=ʁε=tʁə=tɑ̃=fʁaʒilə 10fʁa=ʒilə=mwaʒə=lə=sɥi=tʁo=ʒə=lə=sε 9ʒε=mal=dəp=ɥikə=ty=ma=ki=te 8ki=te=puʁ=djø=sε=kεllə=ʁε=zɔ̃ 8mε=djø=εɡ=zis=tə=til=vʁε=mɑ̃ 8la=bibləa=tεllə=tu=ta=fε=ʁε=zɔ̃ 8εsə=ʒə=lə=dʁwa=də=su=fʁiʁ=o=tɑ̃ 9o=tɑ̃də=nə=plys=ta=vwaʁ=o=pʁε=də=mwa 10mwa=ki=a=vε=vʁε=mɑ̃bə=zwɛ̃=də=twa 9mwa=kinə=vi=vε=ka=tʁa=vεʁ=twa 8mε=dəp=ɥikə=ty=ε=paʁ=ti=sɑ̃=mwa 9plys=ʁjɛ̃nə=va=ʒε=mal=ʒə=plœ=ʁə 8e=pə=tiapə=ti=ʒə=sε=kə=ʒə=mœʁ 9tulə=mɔ̃=də=mə=pʁɔ=mε=lə=bɔ=nœʁ 9mε=puʁ=mwa=tu=sa=nε=kœ̃=ləʁə 8ʒεbə=zwɛ̃=də=ta=pʁe=zɑ̃=səa=mε=ko=te 10twa=ki=di=zε=tɑ̃=mε=me=ty=ma=ki=te 11ty=ε=mɔʁ=œ̃=swaʁ=də=plɥi 7dəp=ɥi=ʒa=mε=plys=ʒə=nε=su=ʁi 9twa=ki=mə=mɑ̃=kə=tεl=lmɑ̃ 7ty=e=tε=mɔ̃=nεs=pə=ʁɑ̃=sə 8lεspə=ʁɑ̃=sə=da=le=mjø=vʁε=mɑ̃ 8mε=zo=ʒuʁ=dɥiʒə=nε=plys=zo=ky=nə=ʃɑ̃sə 10ty=ma=ki=te=puʁ=la=vwa=dε=zɑ̃ʒə 9paʁ=ti=u=pεʁ=sɔnə=nə=tə=de=ʁɑ̃ʒə 9εsə=kə=ty=pɑ̃sə=zɑ̃=kɔ=ʁəa=mwa 8εsə=kə=ty=ʁεvə=zɑ̃=kɔ=ʁə=də=mwa 9ty=ε=tu=ʒuʁ=la=ty=mə-ɑ̃tə=za=ʒa=mε 11ʒεmə=ʁε=tεl=lmɑ̃=ɑ̃=vi=də=və=niʁ=vεʁ=twa 11mεʒə=no=ʁε=ʒa=mε=o=ɡʁɑ̃=ʒa=mε 9lə=ku=ʁaʒə=də=fεʁəœ̃=ʒεs=tə=kɔ=mə=sa 10mεʒə=mə=fε=mal=ʒə=sε=kə=ʒə=nə=də=vʁε=pa 12mε=sε=plys=fɔʁkə=mwa=ʒə=ni=a=ʁi=və=pa 11ʒə=na=ʁivə=pa=a=ma=ʁε=te=mɔ̃=sɑ̃kulə 10ʒə=sɑ̃s=la=su=fʁɑ̃sə=mə=tʁa=vεʁ=se=lə=bʁa 11e=ʒə=sɑ̃s=lə=ʃə=mɛ̃də=mɔ̃=sɑ̃=ki=kulə 10ʒə=mεt=zynə=bɑ̃də=puʁ=kə=sa=saʁεtə 8ʒə=mə=sɑ̃s=vʁε=mɑ̃=tʁε=bε=tə 8mεʒə=nə=sε=plys=mə=kɔ̃=tʁo=le 8mε=ʒə=nə=sε=plys=ma=ʁε=te 8ʒε=tεl=lmɑ̃də=pεnəa=vi=vʁə=sɑ̃=twa 8puʁ=kwa=ε=ty=paʁ=ti=sɑ̃=mwa 8ʒε=bə=zwɛ̃=dε=də=ʒə=lə=sε 8il=fo=kə=ʒa=pεl=lə=kεl=kœ̃ 8ʒə=nə=vø=plys=su=fʁiʁ=mε 7ʒə=nə=tʁuvə=pεʁ=sɔ=nə=pa=œ̃ 8ʒə=vu=zɑ̃=sy=pli=ε=de=mwa 8ʒə=kʁi=mε=pεʁ=sɔnə=nə=mə=ʁe=pɔ̃ 9mɔ̃=na=muʁ=mɔ̃=kœʁ=ʒεbə=zwɛ̃=də=twa 9ʒə=kʁi=mεdə=ma=ɡɔʁ=ʒə=nə=sɔʁ=zo=kœ̃=sɔ̃ 11ʒə=nε=plys=zɑ̃=vidə=vi=vʁə=ʒə=vø=mu=ʁiʁ 11mu=ʁiʁ=puʁnə=plys=ʒa=mε=su=fʁiʁ 8su=fʁiʁ=də=nə=pa=ta=vwaʁ=a=mε=ko=te 11twa=ki=di=zε=tɑ̃=mε=me=twa=ki=ma=ki=te 12e=sε=je=də=suʁiʁə=mə=fε=su=fʁiʁ 9su=fʁiʁ=nə=mə=dɔnə=pa=ɑ̃=vi=də=suʁiʁə 10kə=fεʁə=puʁ=ʁə=vivʁə=mwa=ki=ε=mε=la=vi 11ʒε=mε=la=visə=lə=mɑ̃=kɑ̃=ty=ɑ̃=fə=zε=paʁ=ti 13mɛ̃tə=nɑ̃=ʒə=sɥi=kɔ=mə=dɑ̃=zœ̃=lɔ̃=ku=lwaʁ 11e=dɑ̃sə=ku=lwaʁ=ʒə=nə=vwa=ʁjɛ̃=il=fε=nwaʁ 11ʒə=nɑ̃=vwapalə=bu=ʒə=nə=vwa=plys=ʁjɛ̃ 9sə=lə=mɑ̃=mɔ̃=de=zεs=pwaʁ=e=mɔ̃=ʃa=ɡʁɛ̃ 11ʒə=nə=vø=plys=su=fʁiʁ=ʒə=vø=ʒys=tə=mu=ʁiʁ 12mu=ʁiʁ=puʁ=ʁe=a=pʁɑ̃dʁə=a=suʁiʁə 8 Commentaires Sur La Poesie14/10/2004 0000Carpe Diemil est magnifique ce poème, s’il raconte un boiut de ta vie jen suis sincerement desolé, sinceres amities15/10/2004 0000Angel-Of-The-DarkOn peut presque dire ca comme ca Poème EspoirPublié le 14/10/2004 1333 L'écrit contient 632 mots qui sont répartis dans 1 strophes. Poete Angel-Of-The-Dark Récompense Texte des commentateurs
\n poeme je te quitte pour ne plus souffrir
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